Le périgée I / The perigee I
- Nipon Duong
- 17 août 2022
- 5 min de lecture
Ancrés profondément dans le monde des démons, les prieurs d'avoir, enfin, une chance de s'allier à ceux, dont les vautours survoltés, et, découpeurs, désempennés de leurs plumes, à cause de la houle trop violente, s'en prennent tragiquement aux porteurs de sceaux de la lumière, comme emmulés, ne sachant plus, où, donnait de la tête, qui caricaturaient ces temps, sont, voilà, à nouveau, dans les feux de l'enfer. Alors qu'ils dansent subitement, tels des diables, comme s'ils marchaient sur les braises de l'enfer, la danse invocatrice du mal absolu performe une magie à laquelle l'esprit non encore résiduel n'est qu'une chose relative à la véhicularité, comme tout autre chose. L'enrôlement, en groupe, est si maléfiquement orchestré, que la noirceur du temps apparaît, en prouant jusqu'à rendant des actes orphelins en des actes commutatifs. La contagion est le manifeste de puissance magique, et, se manifestant, de différentes manières. Manièrante, la magie noire, qui s'infuse dans les moindres interstices de leurs êtres, désempèse ces corps, désormais, flottants, comme sur ces lacs hantés et in-dessalés, depuis la mort, par noyade, de sorcières moribondes. Jamais auparavant les mains calleuses et émietteuses de secrets de ces possesseurs, à la possession d'un trésor de magies, qui faisaient fis des dangers reconnus par des exorcistes, avaient, ainsi, tremblé. Des transfulgurations monstrueuses s'opèrent. Des morts s'installent. Rivaux, en magie, mais, intimement liés aux mêmes sources de la magie, le délit semble être totalement indélinqué, pour l'aprioriste, lorsque Dongon, issu d'une terre magique, impératisant de s'éloigner de la lumière violeuse de secrets d'un viel millénaire, empêche, par un filtre de trévancer, Lug, qui chenait, à vouloir passer le pas, durant ces temps vernacularisés. La modestie de Dongon, durant tellement de temps, défalque, jusqu'à l'ultime déflagration, le poussant, en dehors des ronces. Les malheurs tombent, en cascade, tels des cascades d'êtres condamnés, lorsque la lumière impuissante n'exorcise guère ces lieux de souffrances, à l'odeur désozonante, comme si le temps résiduel n'était érigé que, dans leur esprit.
Soudain, au vue du mal fait à ces ramifiées de groupes, imprivés, jusque-là, de cette conscience du temps, mais, aux dures réalisations de la réalité, le moins en reste, Vaillance, improuvant l'adresse du diable, qu'il a pu rocher, au loin, a la tête dure. La consistance du moment, qui rend repus les bouquetins et autres boucs, ferme cette marche du temps. Toutefois, tout n'est guère perdu, lorsque le basilic, est, à rebrousse-poil, jusqu'à lui permettre de distinguer un comportement instinctif, dont le rapport aux temps est différent. C'est alors que Vaillance change son approche et de braquet. Dans les souffleries chaudes, de ces entremurs, dans lesquels les passe-murailleurs avancent, au doigt mouillé, jusqu'à faire des ziguiguis, une aide vient, à temps.
Beffroi : Les échassiers de Vaillance viendront le remettre en selle. Alors que l'éclaireur du temps ne se fait guère connaître, la robe du temps, les flots du temps, sont persistamment signées par des machines à penser.
Palefroi : Cesse de causerie. L'accroissement de Nod est-il réversible ? Combien de lunes faut-il attendre ?
Beffroi : La superlune est déjà là. Comme il était craint, la tempête chimique se lève. La myriade d'artéfacts, ayant été mistigrouillés par des diablotins, et, recouverts d'un filtre magique, dont les ressorts inconnus de la magie noire s'expose, en grand, devant, souvent, une assistance abusée, est la cause de leur perte. Les chançards, accoquinés aux devineresses, et, les soupçards responsables de la soupée d'un autre vie sont de la purée, de la bouillie.
Anchored deeply in the world of the demons, the prayers of having, in fine, a chance of being allied to the ones, of which the cropping vultures, unfletched of their feathers, because of the too violent howl, are tragically attacking the bearers of the emblems of the light, as donkeyed, in not knowing in which direction follow, that were sketching these times, are, thus, in the fires of the hell. While they are suddenly dancing such as devils, as they are teading upon the embers of the hell, the invoking dance of the absolute evil is performing a magic at which the mind not yet residual is just a thing relatif to the vehiclingness, as all other thing. The enrollment, in group, is so maleficient and mischievously orchestrated, that the blackiness of the weather is appearing, in prowlng, till transforming orphaned acts into commutative acts. The contagion is the manifest of magical powerfulness, and, in manifestating, of different manners. Changing ways, the black magic is infusing, till going inside the interstices of their beings, is unweighing the bodies, accordingly, floatting, as on these haunted and without salt lakes, since the death, by drowning, of moribund witchers. Never ever the callous and scrumbling hands of these possessors of a treasure of magics, that were describing the dangers recognized by the exorcists, had, so, trembled. Monstrous transfulgurations are getting operated. The death is settling there. Rival, in magic, but, intimely bond to the same sources of the magic, the delit seems to be totally unsmugged , for the smudging one, whilst Dongon issuing from the magical land, imperatizing of going far away from the light, violating the secrets from a old millenal, is avoiding, by a filtre of quite advancing, Lug, that ran through, in wishing to put the first foot in there, during these vernacularized times. The modesty of Dongon, during all thes times, is swooshing, till the ultimate deflagration, pushing in out of the undergrowths. The misfortunes are falling, in waterfalls, such as falls of comdemned beings, while, the powerless light is not exorcising these places of sufferings, with the deozonised odour, as if the residual time was erected just on their mind.
Sudden, at the sight of the evilnesses that cause some misadventures for these ramified groups, not prived, up to there, of this consciousness od times, but, with hard realizations of the reality, the less, in rest, Vaillance, improuving the adress of the devil, that he saw, in rock, far away from him, has a stubborn head. The consistance of the moment, that make full any goats, is closing this walk of the times. However, anything is lost, when the basilisk is against the tide, till permitting him to distinguish a instinctive behavior, of which the capacity of reading the time is different. it is then that Vaillance is changing his way of seeing further. In the hot ovens, of these between walls, in which the sliders are advancing, with wet finger, till doing draftings, a help comes, at the right moment.
Belfry : The hishoeing ones of Vaillance will come to put back him in the game. Whereas the pathfinder of the times is yet hardly recognized, the dress of the time, the currents of the time are signed by the machines of thoughts.
Palefry : End of disputings. Can the growing of Nod be reversed ? how many moons shall we wait ?
Belfry : The supermoon is already there. As feared, the chemical storm arise. The plethora of mystical artefacts, having been casted, and, covered of a magical filtre, of which the unknown incidence of the black magic, is exposing itself, in grand, in front of, often, an abused assistance, is the cause of their loss. The luckily ones, associated to the soothsayers, and, the suspecting ones, guileful of the soup of another life are like mashed.

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