Procyon I / Procyon I

Les pourfendeurs pétrifiés, dans ces mares épitourmentées, lesquels se libèrent, par un épuisement, qui peut se révéler fatal, de leurs dernières forces, sont pratiquement étars, dans ces quelques interstices, par lesquelles le néant appelle ses progénitures. Les surtout témoins de cette expansion du néant, comme l'avaient enluminé les scribes, s'effondrent, avec ce qui les avaient tant inespéré avancés, jusqu'au bout. Alors que les vivotages déclenchent une confusion des monts tutélaires, avant d'y attaquer le mont des obédiences, sur lesquels les confluences sombrissimes y réclament le siège, jusqu'à rayer les nuages lentillaires, les laves torrentielles, à quelques lieux de là, ne jouent guère la même partition. Bien que perchés au dessus de ces dévalements hystériques, parmi milles vagues décoiffant les créatures délurées, et, histrioniques, lesquels se lovent de ces enveloppantes, et, envoûtantes matières, de ces nappes ténébreuses, qui s'échouent abruptement, jusqu'à embrousser, les éternels et libertaires chardonnerets, lesquels y hologlyphisent comme dernier vœu d'être remémoré, ces troncs émaciés, y signent, sans attendre de retour de la part de ces inavenirs, au-delà de ces fermetures des mondes, les dernières cantations. L'épilletage y est absolument ravissime. Dans son bras, les harpies, aux griffes crochues, et, taquelées, par toutes sortes de sombretés, s'endorment éternellement. Alors que tout est nuité, les faiseurs de ces nuits ultimes, s'habilant seuls pour être les ergonomistes, qu'espèrent les vents sondatifs, s'apnéisent, afin de ne plus rejallir de ces nappes gluantes. Alors que toute vie annonce le gouffre, les quelques seigneurs de la lumière, se mi-haussant, au dessus de ces roches monumentales, les parant des périls, y condamnent, humblement, le ravage, qui était hormis, incompréhensiblement, par les rivières des ténèbres, jusqu'à que l'éclaircie refasse jour, mais, de manière péremptoire, sont des sous-vies de la lumière, qui manque de s'éteindre. L'appuie tombe, à chaque fois, tandis que les asséneurs deviennent paradoxalement renforcis. L'émotion est comme éternelle, dans ces inlassabilités, brassant comme tout l'univers. Tout à coup, le vent tourne, à grand renfort de contreforces, lorsque la fermeté des contre-repoussages s'étiole. Il a été fichué, la convoitise de pouvoir s'emparer, sans instant imminent, le pouvoir adversal. Par inadvertance, les météques, tels des scéniques grabugeurs, qui profitent indubitablement de ce désordre, parviennent futément, jusqu'à avoir de la chance, contre les malconvenances graves, à se sortir de cette impasse couperette. Subitement, les réfrénements de ces retors, et, différentieux combattants sont, quelque peu, mal vécus par les témoins de cette injustice. Mais, l'irrelâcheté de quelques uns a pourtant une continuance dans ces quêtes infinissables. Au cœur de la place surréfactrice, où, l'activité des ténèbres s'assoupit, les faisans résillaires se confortent de peu du monde, qu'ils ont recueillis, en fleur.

The slayers petrified, in these swarms, which are getting liberated, by an exhausting, that can be revealed fatal, from their last forces, are pratically tarsed, in these few interstices, by which the empty is calling for its progenees. The especially witnesses of this expansion of the empty, as the scribes had flashed it, are getting collapsed, with what had made them unhoped-for advanced, till the end. Whereas the soulbringingnesses are triggering a confusion of the tutorships's mounts, before attacking the mount of the allegiances, on which the dark confluences are reclaiming on it the siege, till raying the lensy clouds, the torrential lavaes, from a distance away, are not playing the same partition. The flocks stucked in the wood, which are hologlypizing as last vow of being remembered, thse emaciated trunks, are signing on it the best cantation. Althorugh perched above these hysterical going off rampages, the delurated and histrionical creatures, which are lodging themselves of these shrouding and enthralling matters. from these dark neaps, that are abruptly falling down, till blurring, the eternal liberty wood peakers, which are hologlyphizing as last vow of be remembered, are signing, without awaiting a return from these unadvening ones, beyond the closings of the worlds, the last cantations. The pikes are absolutely revivid. In its arm, the harpies, with hookling and tackled claws, by all kinds of darknesses, are eternally sleeping. Whereas all is nighted, the doers of the ultimated nights, showing the ability of becoming the ergonomists, that hope the probing winds, are getting apneous, in order to not regush of these gluing neaps. Whereas all announces the chasm, the few lords of the light half hoistering themselves, above these monumental rocks, warding off the perils, are, in an humble way, condemning, on it, the ravage, that was except, understandingly, by the rivers of the darknesses, till that the enlightening ponds comes daylight, but, in a peremptory way, are like sublifes of the life, that misses of being extinguished. The psuhes is falling, at each times, whereas the slayers are paradoxally getting restrenghtened. The emotion is like eternal, in these unleashabilites, breeding all the universe. All of sudden, the wind is whirling, with great reinforcement of counterforces, whilst the firmness of counterpushingnesses is getting fatigued. It has been doomed, the covetousness of power of seizing, without impending moment, the adversal power. By inadvertance, the spic hearts, such a scenic toublemarkers, that are profiting undubitiously from this disorder, are parvening with sliness, till having the chance, against the grave illconvenances, to go out from this killing deadlock. Sudden, the slowing down of these retors and differential combattants are, somewhat, ill lived by the witnesses of this injustice. But, the unreleashingnesses of a part, has, indeed, a continuingness, in these endless quests. In the heart of the surrefactoring place, where, the activity of the darkness is fading away, the resillary pheasants are comforting themselves of little world, that they have harvested, in flower.