Parhélie, périhélie I / Sundog, secund sun I

Orkalius : L'instabilité temporelle peut être, ainsi, détourée de ce fond uni, par lequel les yeux de plus espiègles, et, perspicaces ont pu rendre les justes descriptions. La harde de centaures, hameautant jusque-là, donne force et bravoure à tout ce qui s'acharne à se mettre en travers du chemin de ces émirs. Sur ces grottes benthiques, dures s'annoncent les confrontations. Les monts sont complices aux moindres avancées, mais, le complice des mots est homme.

L'un des prophétiseurs : Les ritualisateurs savent quel dieu à ne pas froisser, savent-ils ?

L'un des centaures : La moitié de nous n'est qu'une humée d'un feu éreinté, couvert. La tiédeur a toujours des connexions avec les puits, les moins profonds. Il faut prendre, en douceur, les rémissions du feu. Comment forme, aux moindres regrets, l'enseignement des sages ?

Orkalius : L'assortiment des élus, provenus du capitolium, apporte un enseignement, qui n'a, ainsi, pas la baloudise des anciens. Pour quel fin les élus, face aux armes éligibles, se muent dans cette posture sacrificielle ? Comment ôteraient-ils ce sentiment obscurci, par la rage de survivre ?

L'un des centaures : L'instable fléau, à ce que parentent les moindres temps, ne peut se prendre à revers, tant l’œil rivetique se plonge dans l'intimité de l'être ? La chair se déprime. L'énergie vitale, les staminas, sont, dans les galops des ombres. Le galop de vie peut revivifier, même, les perdues sous-régions anatomiques.

Orkalius : Le chevalier noir, Mote'a, qui protège les auriges, dont les capitaux de ces édiles sont versées à ériger un institut, au sein de la pré-capitalistique région, intouchée par la bataille intratronisatrice, place des avantages sur ces lieux sous-ceints, pour l'instant. Silence, là, où, les fléaux morbidiques et stricteurs sèment l'abysse des espoirs.

Orkalius : The temporal instability might be, thus, decutten from its unified background, by which the smart eyes have rendered the just descriptions. The herd of centaurs, resting, right, up to there, gives force and bravery to the one, that plodding on with the cause of putting in the middle of the pathway of these emirs. On these benthic grottoes, the confrontations are getting announciated hard. The mounts are accomplice to the slightest advances, but, the accomplice of the words is mankind.

One of the prophetisers : The ritualizing ones are acknowledging which god to not disturb, do they know it ?

One of the centaurs ; The half of us is just a humedness of a frazzled and covered fire. The tempered being has always some connexions with the wells, the less profound. It is needed to take softly the remissions of the fire. How forms, with the slightest regrets, the learning of the wise men ?

Orkalius : The assortiment of the chosen ones, coming from the capitolium, is bringing a learning, that has not, henceforth, the heaviness of the ancient ones. For which end, the chosen ones, facing to the eligible weapons, are muted in this sacirficial posture ? How will they take back this darkened feeling, by the rage of surviving ?

One of the centaurs : The instable scourge, to what the slightest times are parenting, can just be taken, aside, as the targeting eye is plunging into the intimacy of the being ? The flesh is getting depressed. The vital energy, the staminas, are, in the shadowy galops. The galop of life can revividn even, the slightest anatomical subregions.

Orkalius : The black knight, Mote'a, is protecting the riders, of which the capitals of these ediles are versed to erect an institute, within the pre-capitalistical region, untouched by the intratronisating battle, is placing some advantages on these subrounding places, for the moment. Silence, there, where, the morbidical and stricting scourges are bringing the abyss of the hopes.