Orgya I / Orgya I
- Nipon Duong
- 31 janv.
- 4 min de lecture
Bien que dépassé, dans le même temps, le libérateur déconfinateur, Cygos, caïné par tous, y caïde les quelques consorts, qui roitent, à travers les milles confins interdits. Bientôt épuisées, le conglomérat de choses vivantes se consolide, jusqu'à feindre les regards perçants des découvreurs. Ainsi qu'elle ait décidé, la percée des secrets frôle l'hérésie. Contre toute attente, le mystérium y érige son chapiteau, sous lequel des figures reconnaissables, ayant été reconnues, y compris dans les secteurs, et, les confins, les plus rudes, rapportent une vérité concernant l'équilibre, jamais atteint, qu'ils déstabilisent. A raison d'un changement, même, infime, les choses peuvent changer drastiquement, selon les parallactiaux, et, les équilibristes en sont les acteurs de cette paix, aux visées universelles. Les autants sont, par nature, si phagocytaires, dans cet macrocosme, que les incursionnistes sont, souvent, pris dans ces équatorialités. Une découverte en cache une autre, lorsque la mise en lumière effectuée par les conclaveries souterraines, qui secondent les hautes sphères, a tout l'air d'une histoire interminable, qu'il ne maîtrise guère, d'un bout à l'autre. Ils y sont les primordiaux liants, et, les contre-destins semblent broyer leurs esprits, déjà, semi-éteints. L'extinction de la flamme de la foi prend des allures de fins dramatiques. A la base de ces flammes noirâtrisantes, sur les contours desquels les noctulescences semblent se nouer aux métaux inforgeables, et, aux matériaux indestructibles, comme l'éternel l'avait conçu, dans ce coron. Le concentré de pouvoir réside, dans l'orfèvrerie, et, l'ingénierie, qui imitent la main d'une sorte d'éternité. Une histoire, contre laquelle les suppôts démoniaques, composés de supradémons, y jettent l'ancre, sur ces bases secrètes, au sein desquelles les supraconducteurs remagnétisent les tacs, jusqu'à que les modules amphibicoptèriques, s'oxydant, à peine, refilent droit, dans ces tronçons, afin d'y empêcher toute évasion vers les paix. Les jamais paisées contrées lointaines, d'où, les natures aussi élémentaires des supradémons y déforment l'aspect de la réalité, comme torsionnée, dans ces tonneaux infernaux, sont orguifiantes, car, les errants de l'espace y sont, pour ces ténèbres, des vibrations contigües de cette peur continue, qui nourrissent les avancées aveugles de ces sentinelles. Les hyperréactivités laissent peu de place au choir. Les gueules, qui jabotent succulamment, jusqu'à désalliager les moindres alloyées, sont des trous noirs, que les supradémons maîtrisent parfaitement.
A mille lieux de là, les sempiternels gobelins, qui définissent, quasiment, la verticalité, vertiquent, dans ces pentuités, le long descendant duquel les suppôts démoniaques languifient affreusement, dans les pires affres, leurs dents sillonneux, jusqu'à que la gerbe stomacal y arrose, de manière tout aussi ahystérique, la tâtée démonifère. Les sentients, contre ces attaques parricidaires, y rapident les conciliabulations avec les clans conscientiseurs, et pieux, peu importe, leurs origines. Les conciliations prennent un sens quasi inouï, lorsque l'évocation sacrée des élus, tels que l'un de leurs congénères vénérés, et, leurs essences se sont fondus, dans la gemme tangoureuse. Les nervins, que les dragons arborent, ne démontrent guère le contraire.
Although depasssed, in the samewhile, the deconfinating liberator, Cygos, cained by all, is rascalling the few princes, that are rostling, throughout the thousand forbidden confines. Soon exhausted, the conglomerate of living things is getting consolidated, till avoiding the piercing looks of the discoverers. Like that, the piercedness of the secrets is touching the heresy. Against all odds, the mysterium is erecting its roof, under which some recognizable faces, having been recognized, including in the sectors and, the confines, the hardest, are rebringing a truth about the equilibre, never ever reach, that they unbalance. At reason of a changing, even, infime, the things can change drastically,, accoridng to the parallactial ones, and, the equilibrits are the actors of this peace, with universal aimings. The element are, by nature, so phagocytary, that the incursionnists are, often, caught in these equatorialities. A discovering is hiding another, whilst the putten in light realized by the underground conclaveries, that secund the high spheres, has the look of an endless story, that he is not controlling, from a tip to another. They are the primordial links, and,the against destinies seem to gnaws their spirits, already, half extinguished. The extinction of the flame of the faith takes lurednesses of dramatical ends. A the bottom of these blackish flames, on the shapes of which the noctulescences seemss to rekindle to the unforgeable metal, and, the indestructible materials, as the eternal had conceived it, in its gleap. The concentratedness of power resides, in the craftmanship and the engineery, that imitate the hand of kind of eternity. A story, against which the demoniac agents, compounded of suprademons, are throwing the anchor, in these secret basis, within which the supradrivers remagnetize the tackles, till that the amphibicopteres, getting oxydated, are plummeting, in these ways, in order to avoid all evasion towards the peaces. The never peaced far away lands, henceforth, the natures as elementary, of the suprademons are deforming the aspect of the reality, as torsed, in these infernal funnels, are arganifying, because, the wanderers of the space are, for these darknesses, contigued vibrations of this continued fear, that feed the blind advances of these sentrys.The impresssive mouths, that crushing succulatingly, till disalloying the slightest alloys, are black holes, that the suprademons are controlling perfectly.
From thousand places from there, the sempiternal goblins, that are defining, quasi the verticality, are verticating, in these slopingnesses, the long descending of which the demoniac agents are tonguifying awfullingly, in the worst chasms, their furrowy teeth, till that the stomacal gerb is pouring down,, in a ahysterical way, the demoniferous tacklingness. The sentients against these parricidary attackes, are speeding, on it, the conciliabulations with the conscientious and pious clans, whether their origins. The conciliations are taking a turn quasi inouish, whilst the sacred evoking of the chosen ones, such as one of the venerated acolytes, and their essences are getting melted, in the tangling gem. The neves, that the dragons have, are not demonstrating the contrary.

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