Métalo alcano-terreux VI / Radium VI

Gond, à fleur de peau : Ce n'est qu'une partie remise, pour les dragons, que les ailes apportent la protection infinie, lors des tamboulements secouants, à travers les orifices, quelques fois, si étroits que rien ne puisse rentrer au bercail, jusqu'à ne craindre aucune estafilade, et, pour les draconiens, que les armes dessinant, lors de ces combats, le cycle éternel du sang éprouvé, dans ces ores et ces ordres, qui réveilleront la montagne cosmique.  Les congénères bercaillent à nouveau, là, où, les diacons se laissent partir, dans ces vertiges. La muse éternelle des cités des dragons fait horizon vers l'avenir, et, nous en ferons pleinement partie. 

L'un des sauriens : Les premiers commandements du prince, et, son foudre-dragon, attendant de régir le temps, l'espace et l'âme guerrière, qui se dole en chacun de nous, seraient bons à devoir sceller nos temps. Les prédestinations, faites par les dragons orifitiateurs, y redensifieront les batailles rangées, par enchantement. L'isolement de sens de Long a franchi tant d'étapes, et, ses acolytes, aux casques divinatoires, peuvent réfugier la bataille, dans l'oubli. Dans les oubliettes, le passé rugissant, et, ferreux le sera.

L'un des sauriens : La cousine des émotions a pris, d'un coup, d'un seul, les quelques ribambelles, sous ces capons. Vite, les milles tourbillons de feux embrunissent tout.  

Tout à coup, l'appel de Gond a tenu toutes ses promesses. Lorsque les bribes de mots, à peine perçus, reconstituaient l'état d'esprit des armées, dans ces espaces lointains, avant de s'échouer, en silence étouffé, dans les pointues des roches, sur lesquelles les diorites assemblent, à nouveau, une vision qu'il connaît familièrement, les gestes pour réinsuffler toujours plus l'espérance. Qu'il l'incarne, avec brio, les armées des ombres, qui se dissipent, inlassablement, lorsqu'elles sont, par parcimonie, éclairées, sont illibres, ce qui crée la stupéfaction. Dans l'expectative de revoir les terres d'entre deux, comme elles existaient, le brillantissime créature draconifère a, dans l'esprit, ces chroniques du temps, que les cités supérieures, et, emblématiques y frappaient l'ancre volumineux du temps, afin de ne jamais dériver, dans l'obscurantisme. Le néant d'espoir existe, tout aussi, lorsque des remontées n'ont plus d'existence. Les sanglotements montrent l'appétence, tantôt, d'un camp, tantôt, de l'autre, pour la mort sublimicale. Cette forme de sublimicalité frappe, jusqu'à espérer posséder ce don de résurrection. Tout à coup, Gond et ses bas-fondriers, se couvrent de stratégies, en honneur à l'emblème des dragons, le chemineur cosmique des guides suprêmes. 

Gond : Ressuscitamment, le feu l'est, avec son compagnon, la terre. Les rancœurs sont moins fortes, dans les terres vernales. Alors que les camps, pris par les enclumes, qui tergiversent entre le fer rougi et le mordre des dragons, sont ballotés d'une terre à un ciel, et, inversement, la discorde rompt le premier chaînon, et, les derniers chaînons, qui connaîtront l'impulsion légendaire, se recourbent jusqu'à dresser, dans un même alignement, les mondes, le temps d'une victoire.

Tout à coup, les anges céroféraires, et, leur front se déplacent, et, les gargouilles les informent, par narguaison.

L'une des gargouilles : Zénithion n'est qu'une poussière de temps. La cité de la suprématie des dragons, où, est issue la lumière zénithale, a le clair de son temps, lorsqu'il est noyé par les ombres refluviatiles, Soudain, les compagnons dercheux, ayant operclus, grâce à des botites irradiantes, ces ferrailles monstrueuses, réapparaissent, et, l'intronisation du prince des éléments, qui corrompent les âges, les uns après les autres, est mise en fragilité. Grâce à cette foulure du temps, les goules vous devancent. Comment réussiront-ils à faire ce renouement avec l'ombre d'eux ?

L'un des sauriens, n'ayant l'air d'être impressionnés par cette envergure : Plus moulus que vivant, les cryptides n'ont pas leur place, ici. Les représentants illustrissimes des milieux n'auront pas le milieu du temps de cette bataille. Nous arrivons, à grand pas.

Gond, brimming over tears : It is just a reschedule, for the dragons, that the wings bring the endless protection, during some quaking and noisy falling, through the orifices, sometimes, so narrowed that nothing might be able to go back in the fold, till not fearig any slicing, and, for the draconians, that the weapons drawing, during these combats, the eternal cycle of the proved blood, in these ores and these orders, that will awake the cosmic mountain. The folks are folding again, there,where, the unfoxy ones are not abandon themselves, in these vertigoes. The eternal muse of the cities of the dragons are making horizon towards the distant time, and, we will be fullu part of that. 

One of the saurians ; The first commandments of the prince, and, his sheath, awaiting to rule upon the times, the space and the warmongering soul, that is doling in each of us, will be good to have to seal up our times. The predestinations, made by the orifitiating dragons, will redensify the ranked battles, by enthrallment. The isolatingness of the sense of Long has crossed so much steps, and, his acolytes, with divinatory helmets, can shelter the battle, in the oblivion. In the oblivions, the roaring and claddy past will beth. 

One of the saurians : The cousine of the emotions has caught, during a hit, the few shamblings, under the green roofs. Quickly, the thousand firewhirlwindingnesses are darkening everything. 

All of a sudden, the call for Gond has held all its promises. Whilst the bribes of words, barely perceived, reconstituted the state of spirit of the armies, in these farred spaces, before landing, in muffled silence, in the pointiness of the rocks, on which the diorites, the volcanic rocks, assemble, again, a vision that it knows famillarily, the gests for reinsufflating, always more the hopingness.  That he bodes well, and embodies, clerverly, the armies of the shadows, that are getting unleashingly dissipated, whilst they are parcimoniously lighted up, are unfreed, what creates the stupefaction. In the expectative to see back the lands caught in between as they exited, the brillant dragoniferous creature has, in the spirit, these chronicles of the times, that the superior and emblematical cities are hitting the voluminous anchor of the times, in order to never ever drift away, in the obscurantism. The emptiness of hope, also, exists, whilst some  upsrpingnesses have any longer of existence. The sobbingns are showing the appetence, sometimes, from a camp, sometimes, from the other camp, for the sublimical death. This form of sublimicality is hitting, till hoping possessed this gift of resurrection. All of a sudden, Gond and his dwellers of the descents, are covering themselves of strategies, in honour of the emblem of dragons, the cosmic pathwaying of the supreme guide. 

Gond : Ressuscitatingly, the fire is, with its companion, the earth. The rancourses are less strong, in the vernal lands. Whereas the camps, caught in the anchors, that are tergiversating between the iron and the bites of the dragons, are swaying from a land to a sky, and, reversingly, the discord is breaking the first chain, and, the last chains, that will know the legendary impulsion, are recurving themselves till aligning the worlds, during the time of a victory.

All of a sudden, the ceroferary angels are gettign deplaced, and, the gargoyles, in narguing them, are informing them. 

One of the gargoyles : Zenithion is so ephemeral.The city of the supremacy of the dragons, henceforth, the zenithal light is issuing, has the clearing of its times, whilst it is drown by the refluviatial shadows. Sudden, the last one to ride upon companions, having strangulating till opening, thanks to irradiating beetles, these monstrous iron cladding machines, are reappearing, and, the intronisation od the prince of the elements, that corrupt the ages, the ones after the others, is put in frazzledness. Thanks to the twist of the times, the ghouls are forwarding. How will they succesfully make this rekindling with the hollowed ones ? 

One of the saurians, in not being very impressed by the wings : More scrumbled than alive, the cryptides have no place, downthere. The illustrious representants of the middles will not have the middle of the time of this battle. We will pace as fast as we can.