Métalo alcano-terreux IV / Radium IV

Dans ces pays d'aura, où, les êtres connaissent un voyage vers l'au-delà, Mote'a et les gorilles, lesquels s'affranchissent, des sortes de négociation, avec les autres créatures obscurifériques, afin de secourir, d'emblée, les quelques ayant chutés sur le champs de dévastation, où, ils dépècent les moindres descendants de ces cités héritées, ne retiennent, ni même, les foules battues par les ombres taréidoliques. Les auscultations anatomiques procurent des telles révulsions, qui enragent les quelques fulminants, avec les orages éclatant, de manière grondeuse. Plutôt que se retrancher dans ces tranchées creusées, en une longueur infinissable et interminable, afin d'y faire serpenter une créature ambassadeuse, née des encaissements et les plissures sévères des montagnes, contredisant les desseins ténébreux, les holokinésystes, qui mi-opèrent, comme étant pris, d'une domination des sens, jusqu'à n'être capable que d'y changer, d'un iota, la réabsorption de ces corps. Alors que grondent les environs, le ciel, lequel est abasourd, n'est que spectateur de ce ballet de vaisseaux. Au franchissement du mur du son, représentant, l'étape de l'ultime miraculée, à partir duquel, les engins soniques, au-dessus des têtes accomplètes, emprisonnées d'un monde de chaos, y dresse le futur contre le présent, qu'ils ne souhaitent guère faire partie, dans cette partie psychotragique. Les attèlements du futur, lesquels, y prennent en charge ces sous-vies, sont rapidement attaqués par des essaims, en rapide partance vers les ciels comme désapprobatifs. Contre toute attente, par dessus tout, un parmi tant de ciels prorogue, jusqu'à les autoriser à escaler, cette fois insolitissime, les patches cielleux. La lumière rondifiante y suprême les quelques actes de bravoure, par lesquels l'émotion de ces acolytes est immortalisée. La fatédie semble être non irrévolue. Une révolution de sens brise toutes les prisons de ces mondes ramifiés. Les quelques végétaux couronneurs du courage rameautent, jusqu'à irrépressiblement inventer le réenchantement, en leur présence. Une présence divine peut naître à n'importe quel moment. Dans l'angelle des endormis, où, une sauvegarde des molécules miraculeue s'accumulent, les veilleurs, tels des anges gardiens, constituent un front, sur lequel les ombres diverties, car, cela n'apparaît comme une grande mascarade, y macérolent les quelques esprits, aidés par ce barda de bioingénierie, Le fourbissement y ressemble à celle des cuirasses. Les péricarpes des dryades graineuses, dans le même temps, se recouvrent, jusqu'à augurer le froid des batailles. Le sentiment d'effondrement, et, les vibrations ressenties, au sein de ces êtres superconducteurs, faisant caissons, coupe les jambes, et, profondent les vertiges, produisent cette volonté de puiser, dans ce puits d'émotion, afin d'en sortir vainqueur. Les sciences infusées en ces êtres infusoirs appellent à de grandes choses. Jusqu'à cette advertance, où, les propitiateurs y obnacent les quelques incapturables expoitrailleurs. Subitement, Mote'a, qui renoue, dans un avenir plus que proche, avec les gardes de l'impérateur, y chaleurise ces retrouvailles, d'avec ses gorilles macrocéphaliques. L'électrocéphalie diminue, à cause de ces charges de contrôle, parmi les désemprisonnés. Il simultane les mêmes mots, qu'affichent la cité, en question.

Mote'a : Les vestiges des cités luminiques y sont, toujours, attachés à ramener à cette inquiétude d'antan. Une impression de chaos s'abat, simultanément, sur les luminariums, qui ne sont que des semblants de cités fonctionnelles, à la fois, célestielles, politiques, et, économiques, sur lesquelles ils font front. Mais, les héroïsmes déferont tous les malheurs, ne venant guère seuls. Les cuirassiers seront, à l'anaglyphe du passé et du futur, et, nous perpétrerons le présent, jusqu'à l'infini.  

Subitement, les ichtyocréatures, aux phtalgmes, qui impressionnent, y veillent sur les abords des écumes, sur lesquels les échouaisons accompagnent les défaites.

In these lands of aura, where, the beings are ackonwledging a voyage towards the beyond, Mote'a and the gorillas, which are going through, excepting the kinds of negotiations with the other obscuriferous creatures,  in order to help, first of all, the few having fallen, on the field of devastation, where, they trucide the slightest descendants of these herited cities, are even not holding, the crowds fought by the crazy shadows. The anatomic auscultations are procuring such revulsions, that are enraging the few fulminating ones, with the storm exploding, in a rumbling way. Instead of retranching itself in these trenches dug, in an endless length, in order to make snake a ambassading creature, born from some foldings severe of the mountains, countersaying the dark plans, the  holokinesysts, that are half operating, as being caught, of a domination of senses, till being able to change, of an iota, the reabsorption of these bodies. Whereas the surroundings are rumbling, the sky, which is silent, is just spectator of this ballet of vessels. At the crossing of the walls of sound, representating, the step of the ultimate miraculatedness, from the sonic engines, above the unfulfilled heads, imprisonned of world of chaos, is dressing the future against the present, that they are not belong to, in this psychotragical part. The grasps of the future, which are taking in charge these sublifes, are rapidly attacked by some swarms, in rapid leaving towards the skies as disapprouved. Against all odds, above all, the skies are proroguing, till authorizing them to land, this times, the skyward patches. The roundifying light is supreme the few acts of bravery, by which the emotion of these acolytes is immortalised. The fatefulness does not seem to be not irrevoluted. A revolution of senses is breaking all the prisons of these ramifiated worlds. The few vegetal crowning of the courage are weaving, till unrepressibly the reenthrallingness, in their presence. A divine presence can arise, at any moment. In the angel of the sleepingness, where, a safeguard of the miraculous molecules are getting piled, the veiling ones, such as guardian angels, are constituting a front, on which the diverted shadows, because, that is not appearing as a great mascarade, are macerolating the few spirits, helped by this equipment of bioengineery. The furnishingness is ressembling to the one of the hardskins. The pericarps of the grainous dryades, in the meanwhile, are recovering themselves, till auguring the coldness of the battles. The feeling and the vibrations felt, within these superconducting beings, doing casing, is cutting the legs, and, are deeping the vertigoes, producing this will of digging, in this wells of emotion, in order to get rid of the vanquished ones. The sciences infused in these infusing beings are calling upon the great things. Right, up to this advertance, the propitiating ones are nesting, in an obversary way, the few uncapturable rippers of the armoured chests. Suddenly, Mote'a, who will rekindle, in a future more than cose, with the guards of the imperator, is heating these findings, with his macrocephalical gorillas. The electrocephaly is diminishing, because of these charges of control, among the disimprisonned ones. He is simultaning the same words, that display the city, in question. 

Mote'a : The vestiges of the luminic cities are, on it, always, attached to rebring to this serenity from the erstwhile. An impression of chaos is striking, simultaneously, on the luminariums, that are some semblants of functionnal cities, at the same times, celestial, political, and economical, on which they are steadily doing. But, the heroisms will undo all the misfortunes, in not coming alone. The spacecrafts will be, at the anaglyphe of the past and the futur, and, we will lastlong the present, for the evermore. 

Suddenly, the ichtyocreatures, with impressive phtalgmes, are veiling on the edges of the foamingnesses, on which the faliings accompany the defeats.