Le rhéomètre III / The rheometer III

Les lurons, lesquels s'entourent d'artéfacts rafistolés, désabîmés, et, au bord de la ruine, agissent, le plus malin du monde, afin de désinsectiser les quelques capharnaüm. La malicieuseté l'attrape de la sorte, afin de les faire vadrouiller, jusqu'au bout. Néanmoins, ils ne sont oncques jamais démontés, et, gardent leurs counettes. Les ceintures, non adonisées, sont serrées de potions mirifiques, et, d'autres trousseaux, dans lesquels les mondes, en déclin, se compactent, dans le reflet miroiteux des compacteries, et, leurs âmes comme inconsumables sont retranscrites, par des feux follets et amusaux. Les musèlements des gorgons, aux babiloches quelque peu, moronnieuses, ne sont guère aussi faciles. La raison pour laquelle les torques enserrant les cous robustes et routillés aux tempêtes des ténèbres, que ces bas mondes produisent, les frappent d'une obligation de se terrer. L'incompréhension persiste au fil des débordements et aux ruines célériques. L'ensuivement ne fait dire que chose contraire. De pis en pis, les événements ludivinesques doivent de dérouler, à petites gouttes, dans les bas palais filipontesque comme la lyricalité avait, à la fin d'un parcours de sens, trouvé sa demeure, à moins que des ordres de soutènement, sans empirement inconséquent, ne repoussent les morvées souterraines, qui dégoulinent de rage. La bile folle simpère, coule, dans le sens, où, les esprits sont torturés. Les architectures artistiques, en vain, y contre-épelent à l'orée des forêts soumises, les quelques sortilèges vils. Toutefois, les seigneurs gorgons, dévalant, solennellement, les pontonneaux, que les hamaçons sont des endroits insolites de roupillements, sans dormir à poings fermés, afin d'embrasser les brumes, bien que discordieuses, qui chosaient, avec un vocabulaire, dorénavant, fourni, les philharmonieusetés des elfes sempiternellement rancœurés, et, agacés, sont, d'un déroulage des vents pliés, dans ces cavités semi-cielleuses, moins grappadingue, que prévu, jusqu'à impérier une assistance luminique. Les gorgons foineux y paraissent changés, grâce à l'effeuillage plus que lumineux, de ces couches combatières, lorsque, sur cet abstentement des vents, les gorgons siègent une parole prononcée par les élégiaques elfins. Subitement, l'antithèse de tout, Orfin, y caresse, avec emblance, le doux rêve de rallier, par les immenses espoirs que soulèvent les lectures architecturales, les clairons.

Orfin : Les fringaleries des gorgons gourmets, viennent à être coupables. Parmi les palais du palacéum, quelle cheville architecturale aussi belle, qu'offrent les cimiers timides, et, éclaboussés de lueurs célestes,  jouit d'une telle hotte ? Ils gustent ces fruits emmagasinnant les réussites, et, vous êtes les cueilleurs, d'aujourd'hui.

Hautbois : Les orques couettés ne nous lâchaient d'une semelle. La clef des arpents a une gargouillerie à ses trousses. Les étendues cémétériales que les cémentés peuvent, avec la difficile, modéler les ombres, qui chappent, nécessite la luttière, la lumière elfique.   

Orfin : La grâce et la manière.

The shamblers, which are getting surrounded of repaired, dedamaged and at the edge of the ruin artefacts, are acting the most malicious, way of the world, in order to disinsectivize the few capharnaum. The malicousness is catching it in a way, in order to make shamble, until the end. Nevertheless, they are never ever dismantled, and, guarding their balls. The not adonized belts are serried of mirific potions, and, other troussels, in which the worlds, in declining, ae getting compacted, in the mirroring reflection, of the compacteries. and, their souls as unconsumable are retranscripted, by the crazy and funny fires. The mufflings of the gorgons, with hanging lips, somewhat, showing their chick weeds, are not so easily. The reason for which the torques serrying the robust and retooled to the storms of the darknesses, that the lower worlds produce, necks, are striking them of an obligation of earthening them. The understanding is persisting as some deboardings and witty ruins. The closest followings up is just saying the contrary thing. From worst to bad, the ungloomy events must occur, in the lower filibridging palace as the lyricality has, at the end of a run of sensees, found its home, unless that some orders of sustaining, without unconsequent empiringness, are repushing the undersided morvatednesses, that outburst of rage. The crazy bile is simpering in the sens, where, the spirits are tortured. The artistical architecture, in vain are counterspelling, on it, at the submitted forests, the few villainous spells. However, the gorgon lords, that are solemnly descending the bridges, that the clingingnesses are some insolite places of sleepings, without sleeping deeply, in order to kiss the mist, although discordious, that chosed, with a vocabulary from the times forth, furnished, the philharmoniosity of the elves sempiternally rancoursed, and fedded up, are, of a happening of the floded winds, in these half sky cavities, less maddening, than foreseen, till imperiating a luminous assistance. The gorgons are pearing changed, thanks to the spurtingness more than luminous of these combateous layers, whilst, on this absentingness of winds, the gorgons are besieging a speech pronounced by the elegiac elves. SUddenly, the antithese of everyrhing, Orfin, is caressing on it the soft dream to rally, by the huge hopes that the architectural lectures are uplifting, the ringing folks.

Orfin : The snack times of the gourmet gorgons come to be guileful. Among the palace of the palaceum, which achitectural ankle as beautiful, that the timid and splattered summits of the celestial sparkles, is joicing of a such atmosphere ? They gust these fruits storing the succesfulneses and, you are the harvesters from today.

Oboe : The natted orcs are pursuing us tidely. The key of the arpents has a gargoylery as followers. The cimetery's stretches, that the cemented ones can with the hardness, model the shadows, that cap, needs the strugglingness, the elfish light. 

Orfin : The grace and the manner.