Le rhéomètre II / The rheometer II

De par l'étude de leur ailes mirifiques, en pagaie, l'art de vol est disséqué. Les mystères de ces créatures, aux codes génétiques secrets, qui sont des exploits, à part entière, sont, à peine, comprises par ces collectionneurs de la vie extrémophilienne. Les vies d'ailleurs ont des chroniques, en guise de cette méfiance, qui cloître l'esprit de ces morfondus. Les soubassements, desquels partent inimaginablement les quelques élucidateurs de ces mystères, sont de véritables liens avec les espaces colonniers, par lesquels les différents clans conclaviques peuvent espérer à l'espoir, au lieu de la tourmente. Subitement, le gorgon ambassadeur, Hautbois, après, tant de labeurs, avoir réussi à rassembler les quelques conclaves minières, et souterraines, se donne un monde afin d'y préparer l'affrontement final, tant redouté par tous. Les ombres des forêts domaniales sont en sourdine, grâce aux pouvoirs multiples des pierres de balisage. La vénalité abrutissante des prélats déclenche, toujours, des échauffourées auxquelles participent les domaines seigneuriaux, à l'intérieur desquels les ombres régissent les murs. Des éclats de monde fragmentés se révulsent, dans les surbrillances de ces saillants, et, ces surfaces polissagées. Les biréfringences de ces pierres n'ont guère de secret pour ces admirateurs. Plutôt délaisseurs que renfrogneurs, tels que ces maudits par les malédictions des glaces, dont les malédictages les rendent morvesques, les guillerons et joyeux éternels gorgons se confortent avec ces quelques brinqueries fantaisistes. Les confettisateurs y parviennent, à tout de même, à garder la tête haute. L'émotion de l'investi par cette haute mission des peuples ramifiés se lit lorsque les gambergeurs, revenant de toutes parts, inclus ces lieux tempérés, et, architectés, de telle sorte que les esprits bienveillants soient avec les cités, biens qu'éphémérisées, il y a, déjà, bien longtemps, y couvrent, de malheurs, les arpents inverrouillables, à cause de gardiennes de portes ténébreuses. La récitation des cités, placées, sous l'ombre, n'a besoin d'aucune permission, jusqu'à que les seigneurs gorgons, insubalternables, à cause de leurs connaissances du grand au-delà, escarmotent les cités abasourdes, subissant toutes ces affligeances, sur lesquelles les crénellistes y convoquent des amenages démonaques. Tout à coup, l'émissaire, Hautbois, gargouillant presque, tels ces grands amenages, qui pense, avant tout à la pacification de ces hauts plateaux verdoyants, dans lesquels les cabanistes, et, leurs sylvicultures, aux essences de bois incroyables, ont réellement une utilité, au sein de ce système de jonctions d'arches, et, d'arcs, dont l'archéisation sublime chaque moment de défaite, n'est guère revenu, bredouille, du mystérium. Dans sa botte de secret grossissante, il y connaît, plus que de manière génialissime, ce processionnat questionnable. Le compagnonnicat se constitue au gré des exploits vadratifs. Des compagnons de traverse s'éluditivisent presque, afin d'y reconnaître leur vraie nature. 

By the study of their mirific wings, in paddle, the art of the flight is watched closely. The mysteries of these craetures, with secret genetic codes, that are exploits, wholly, are barely understanded by these collecitonners of the extremophilian life. The lifes from the elswhere are chronicles, in the guise of this mistrust, that cloisters the spirit of these gnawers. The underbasements, of which are unthinkably starting the few elucidating ones of these mysteries, are truly links with the columning spaces. by which the different conclavic clans can hope to have the hope instead of the torment. Suddenly, the ambassador gorgon, Oboe, after having so many labours gathered, the few mineware's and underground conclaves, is giving itself a world in order to prepare the final confrontation, so feared by all. All of a sudden, escorted by a multitude of processionnary one, The shadows of the domanial forests are in silent, thanks to the multiple powers of the beaconing stones. The dumbering venality of the puissances is always triggering some mishaps, to which participate the sovereign domains, inside which the shadows are ruling upon the walls. Some sparkles of the fragmented worlds are getting revulsed, in the overbrillance of these saillants, and, these polished surfaces. The birefringences of these stones have not of secret for these admirating ones. Instead of derelicted ones, than the refrowners, such as these accursed ones  by the icecurses, of which the accursingnesses are rendering them morvated, the joyous eternal gorgons, are comfortating themselves with these few fantasy brittles. The brittling ones are parvening, even more, to keep their head high. The emotion of the entrusted by this high mission of the ramified peoples, is getting readen, whilst the thinkers, coming from all parts, including these tempered and architected, in a such that the benevolent are with the cities, although ephemerized, there is already a long time, are covering, on it, of misfortunes, the arpents unlocked, because of guardians of dark gates. The recitation of the cities, placed under the shadow, has no need for any permission, till that he gorgon lords, insubalternable, because of their knowledges of the great beyond, are are squarrily gnawing the deadfened cities, suffering from all these afflictingnesses, on which the crenellists are convoking some demoniac bringers. All of a sudden, the emissary one, Oboe gargoyling almost, such as great bringingnesses, that is thinking over, before the pacification of these high verdant plateaux, in which the cabanists and their sylvicultures, with incredible essences of woods, have really an utility, within this system of junctions of arks,  of which the archeisation sublimates each moment of defeat, is not coming back, without anything, from the mysterium. In his growing boot of secret, he is acknowledging, on it, more than genuis mind, this questionnable processionat. The compagnionship is getting constituted according the shambling exploits. Some crossing companions, are eluditivizing themselves, in order to recognize their true nature.