Le rhyolite III / The rhyolite III

Les gnomes, hébétés par les quelques retentissements de la guerre, qui prend forme et une tournure, dans les encaissements des vallées, se décoiffent de ces lierres grimpantes, et autres lichens, situés, sur des reliefs monstratifs d'un pouvoir d'accroissement, afin de fouler réellement la coursive, sur laquelle Gond, le souverain draconien ait apporté l'emblème des dragons. La vocation des dragons, laquelle a les éloges de toutes les conclaves souterraines, se ressent dans les vertiges des tréfonds, jusqu'à perte de vue irregagnable, à l'exception d'être accompagné par de fidèles dragons, aux écailles miroitantes, et, aux têtes crêtées, tels des souverains des profondeurs. Alors que les spergularités et les coccifères plantages, lesquelles gâchent la vue de la guerre lancinante, en mettant en pause, sans tenue des batailles, les confrontations sempiternelles, afin d'y houspiller les quelques réservistes, connus pour le retrait de leurs positions, sur ce conflit muable, sont incomparables, ce qui vaut d'être admiroyées, pour leur prises d'envergure des uns en dessous de l'autre monde, le miseur sur la paix se laisse toujours, comme mélancolique, charmer par les résonances, quelque fois, désemparantes. La lampée de lumière n'a donc, pas suffi. Car, l'esprit de guerrier se cache en chacun de ces entrepasseurs, desquels les propriétaires des signes astraux sont toujours chalants. Les liens, par l'arme sacerdotale, aux multiples sons, qui se fait toujours timide, sont mis à fragile épreuve, lorsque les bourrages des bouts du monde sont simplement défrichables. Dans ses hochements de tête dodelinante, et, gamineuse, jusqu'à, que sa redoute, où, il y a toujours des encryptions, encore, irrésolues, le gnome n'est guère à ses premiers dénis. A l'heure des transmigrations saisonnières, le gnome y pose, comme pour la dernière fois, tel le soleil se couche à l'horizon, son regard, sur ces velours canopiques. Les trimbalements cupulaires y surprennent les idylles. Subitement, l'une des idylles, dans cette coursive étourdissante, par son mécanisme de pivotage, agrippe le cou du gnome, jusqu'à revenir à ses oreilles, comme un chuchotis.

L'une des idylles : La teutonie des cavaliers réduira le sourire de ces lambineurs. Le pouvoir herméneutique d'un camp à l'autre, aux seins desquels la position guerrière est intenable, à moins qu'être maso. Les forces, contre les unes et les autres, ne sont plus maîtrisables, et, les mondes en patissent. Sans voûte céleste, comment se guident les astromanciens ?

Une autre idylle : Les chantepleures, dans les muraillons, sont la preuve, qu'ils ne souhaitent plus demeurer dans le vide. Des pleurs chantées, qui bercent crûment les endroits tanguants. Des rouge et marron painites, aux terminaisons impresionnantes, peuvent, certainement, aider.

Le gnome : Fichtre ! La campe des pouvoirs sombres n'y loge pas des espoirs, pour aucun d'entre nous. Dans le monde des cueilleuses, les idylles sont les plus soigneuses, et, les plus sensitives. Que disent les quelques panacées ?

L'une des idylles : Le cavaliéresque a eu à affronter les lampades. Une ère révolue pour les idylles d'autrefois des mondes appulaires. L'érémitisme des mondes n'a pas plu à Kapout.

The gnoms astounished by the few reboomingnesses of the war, that takes shape and an unravellingness, in the valleyed ponds, are brushing themselves from these climbing ivies, and, other lichens, situated on some monstrative reliefs of a power of growthing, in order to tread down really the wing, on which Gond, the draconian sovereign has brought the emblem of the dragons. The vocation of the dragons, which has the elogiousness of all the underground conclaves, is getting felt in the vertigoes of the bottoms, as the eye can see as unwinnable, excepted of being accompanied by faithful dragons, with astounishing scales, and, with crested heads, such sovereigns of the depths. Whereas the spergularities and the cocciferous disruptions, which are wasting the sight of the lingering war, in putting in pause, without the hold of the battles, the sempiternal confrontations, in order to vituperate the few reservists, well known for the withdrawalness of their positions, on this muable conflict, are uncomparable, what is worthy to be admired for their takings of size of the one beneath the other world, the betting one of the peace is letting itself, as melancholic, charmed by the resonances, sometimes, hardheartening. The lampedness of light has then not suffice. Because, the spirit of necromongerers hides in each of these between passing ones. are always heating over. The links, by the sacerdotal weapon, with multiple sounds, that is doing always timid, are putten in a feable spurs, whilst the spoolingnesses of the tips of the world are simply decayable. In his noddings of waving and kiddy head, till, in his edge, where, there is alwaus some encryptions, yet, unresolved, the gnom is not at his first deniednesses. At the hour of the seasonned transmigrations, the gnom is poising, as for the last one, his look, on these canopical velvets. The cupulary shamblings are surprizing on it the idylles. Suddenlt, one of the idylles, in this wing, by its mechanism of pivotatingness, is grasping the neck of the gnom, till coming to his ears as a whisper.

One of the idylles : The teutony of the knights will reduce the smile of these lambinating ones. The hermeneutical power from a camp to another, within which the armongering position can not be held, unless to be maso. The forces, against the ones and the others, are not controllable, and, the worlds are getting doomed. Without celestial vault, how the astromancians are guiding themselves ?

Another idylle : The weepinds in the walls, are the proof, that they are not wishing in the void. Some chanted tears, that lull the tangling places. Some red brown painites, with impressive terminaisons, can certaintly help.

The gnom : Damn it ! The campingness of the dark powers is not lodging some hopes, for anyone of us. In the world of the harvesters, the idylles are the most meticulous, and the most sensitive. What are saying the few panaceousnesses ?

One of the iIdylles : The knighted one has had confronted the lampads. The revoluted era for the idyl from the erstwhile of the accoupling worlds . The eremitism of the worlds has not pledae to Kaput.