Le rhyolite II / The rhyolite II

La cueillette précieuse livre, enfin, d'immenses espoirs, pour ces lorgneurs, qui n'avaient plus eus les mêmes sensations, depuis si longtemps. Les bastions sont humbles, tant les paradis luxuriants, dans lesquels les vulvées maléfiques aient été emprisonné dans ces miniatures forêts densifiées de manière à empêcher les moindres pertes de précieux combattants. Néanmoins, une dot pour fiançailles avec les ténèbres est une ruse cachée, développée par ces gnomes, livrant les desseins de ces contingences éberluantes et ahurissantes. Les florilégéticiens gnomes rouspéteurs, et, gloseurs, lesquels grommellent de manière stupéfiante, ont des dévotions étranges, lorsque des monstrances, s'enracinant dans des terres affectataires, se défendent contre les chambres naphtaires, et, benthiques, comme envahies par des forces des ténèbres exploratrices, dont les inimaginables tours les laissaient en charpie. Les fragments fiévreusement brûlants expulsés de ces chambres souterraines, tels des expulsats, brunissent de manière sacleuse, les quelques clos, qu'ils avaient érigés. Les concertateurs peuvent y connaître les dessous de ces affaires, dans lesquelles les brisures des mondes introduisent des pré-batailles, au sein desquelles les secrets sont mordillés. C'est, dans ces genres d'entropies, que naissent les plus grands chroniques de pierres de pouvoir. Tels des chroniqueurs de ces cycles, marqués par la craie, ils prétendent de phaller cette forêt alstroète. Généralement, les hampaisons quasi cérémonilales sont toujours des moments de concertation entre ces gnomes, n'ignorant les endroits bitoniaux, qui fragilisent les uns dans les autres mondes, qui arrivent difficilement à cartographier. Une mince manœuvre, que les manoeuvristes ne peuvent effectuer, sans avoir un œil borgneux sur la mystérieuse carte des ombres, où, se grispent les ténèbres. Alors, ils ont constitué une logithèque, dans laquelle les refuges ont des murs versicolorés. L'anticrénelage survient qu'à l'apparition de la pierre des sables, le notoire relayeur des entre-deux-mondes. Dans ces nuls parts, les pieds nickelés ne cessent de rendre mat les sortes de tesselles colorées, en les apposant, de façon logique à toujours maintenir éveillé les entropies, jusqu'à netter les quelques saillants, au moment de transplanement, afin de rediriger, grâce à des hochets, les quelques feux follets. Le format des manœuvres dépassent l'entendement, lorsque les terres de l'intérieur tournent presque sur lui-même, sur un axe central. Soudain, l'un des gnomes, avec cupules pleines les mains, y trébuche, de manière fausse, sur cette péridot, qui l'interdit de cette maladroitise, pénètre dans ce monastérat inversé, où, l'adoration d'une trinité permet le pivotage. Les pivots y contemplent avec merveille, la démesure de ce monument, dont la forme torusée de ces mondes du dessus et du dessous, et, sa coursive mythique a été la somme des efforts conclaviques.

The precious harvesting is giving, finally, huge hopes, for these lingering ones, that had had the same sensation, for a long time. The bastions are humble, so much that the luxuriating paradises in which the malefic vulves has been imprisoned in these tiny forests densified in a way of avoiding the slightest losses of precious combatants. Nevertheless, a dot for an engagement with the darknesses is an hidden astuces, developped by these gnoms, giving the plans of these crazy contingences. The florilegetical and vituperating gnoms, of which grummel in a stupefying way, have some strange devotions, while some monstrances rooting themselves in some affectatary lands, are defending themselves against the naphtary and benthical chambers, as invaded by some epxlorating dark forces, of which the unthinkable turns let them with nothing. The feverishingly burning fragments expulsed from these underground chambers, such as expulsats, are browning in a sacling way, the few cloistery places, that they had erected. The concertating ones can knowledge the bottoms of these affairs, in which the breakings of the worlds introduce some fore battles, within which the secret are bitten. It is in these genders of entropies, that the most great chronicles of powerstones are born. Such as chronicles of these cycles, marked down by inks, they are pretedning to phallify this forest of the alstroetcy. Generally, the hampingnesses quasi ceremonial are always moments of concertation between these gnoms, in ignoring the bitonial places, that feable the inside out worlds, that come hardly to be mapped. A mince thing, that the maneuvering ones can not effectuate, without a borgnated eye upon the mysterious map of the shadows, where, the darknesses are greyingly farting. Then, they have constituted a logitheque, in which the shelters have versicoloured walls. The anticrenalge comes within the appearance of the sand stone, In these elsewhereabouts, the nickelated feet are not ceasing to render mat the kinds of coloured teasing things, in appoising them, in a logical way, to maintain awaken the entropies, till netting the few edges, at the moment of transplaningness, in order to redirect, thanks to hochets, the few crazy fires. The format of the maneuvers are going beyond the understanding, whilst the inner lands are almost turning on the central axis. Sudden, one of the gnoms, with cupules filling the hands, is jostling, in a wrong way, on this peridot, that forbides hem of this illadress, is penetrating in this reversal monasterat, where, the adoration of a trinty allow the pivotatingness. The pivotating ones are contemplating, with wondrousness, the demeasure of this monument, of which the torus shapedness of these top and bottom worlds, and its mythical wing, has been the sums of the conclaves' efforts.