Le principe du passage du pont I / The principle of the passage of the bridge I
- Nipon Duong
- 12 avr.
- 6 min de lecture
Quelques passages du temps ressemblent à cette grâce divine, que les principaux élus avaient tant révéré, jusqu'à être complices à ce bien-être et cet apaisement des esprits. Le calme surveille les lieux, qui réfléchissent le plus, en tout cas, ça en a tout l'air. De par les fonctions de rétablir l'ordre, un peu partout, dans les contrées lointaines, la plupart des élus, qui gardent, avec eux, ces cocardes, montrent, en arme autoritaire d'un pouvoir régimenteur, durant les événements, les plus courus, pendant lesquels les brassées des mondes secondaires y montrent une nulle telle diversité. Les demandes de vitesse ne cessent de culminer les étapes summitales, auxquelles ils devront faire face. Les validations de leurs quêtes se prennent les pieds, dans ces tapis diplomatiques. Ceci, la garde prétorienne, de plus en plus prédominants, dans la gestion des élus, et, leurs armes séculaires, et, élogieuses, se comporte comme une vieille peau. Capables de tout, les quelques mesquines et abâtardisantes meneuses aux combats y rôdent, dans ces arènes de foules, qui ré-imitent, avec une fatalité dissimulée, le vent et l'esprit des tournois, afin d'y attendre l'éclair des derniers mondes, afin d'y intégrer les comportements badinés et brèvistes de ces confédérés à cela, et, la garde prétorienne, si prestante, y flagellent secrètement, jusqu'à que la mort s'ensuive, les moindres dériveurs, en dérivation vers les cabestans, et, les pyraformiques mastabas. Les carabistouillages sont monnaies courantes, et, les guildes de pirates et de flibustiers, se comblent de ces insultes. Les encyclopédies vivantes, qui sont difficilement atteignables, depuis la redécouverte des morceaux du passé, que quiconque faisait la mauvaise rencontre, s'enterre avec cette tombe civilisationnelle, sont, toujours, noétiques, et, vivent pour le perpétuation de la transmission du savoir. Une transition d'époque à époque, dure à laver avec de l'huile de coude, est à son parachèvement, lorsque les yeux fermés, par les larmes salées, s'ouvrent péniblement, pour que s'entrebâille la lumière du jour. Les visages sont ridulés davantage par les zinzinbulations. Les montagnes d'engins sont le quotidien de ces pris entre les flots des temps. La somme des victoires privilégiées par les clercs, et, les baillis, a des lucrations. La nouvelle peau de la cité capitale reflète la jeunesse d'esprit du sauveur. L'esprit innovateur semble avoir pris, tout aussi, les valétudinaires, à qui les lumières d'êtres des héros reviennent à être, encore, capturées. Aux heures de la grande nomination des élus, qui frappe, temps à autre, les civilisationnistes, qui admirent, au passage, les statues théoformiques, avec ces ancrages symboliques, dans ces puits de fusion, qui sont absolument à couper le souffle ardent, et, mettant fin à toutes tergiversations sur ce panthéon d'héros, y font reluire les coupes transmodales du temps, jusqu'à y accepter les contraintes environnementales. Ces mardolistes y creusent, de telle manière que les riveurs, aux comportements plus étranges, y dénichent l'aspect double, les faces cachées des suspectés démonisés, pour une vérité de cause. Un malaisification empêche de parler avec un cœur pur. Les diaconesses y sont les premières réveilleuses des damnations. Dans tout ceci, les environnementalistes s'y accomodisent bien, lorsque des cercopithèques, de cet insectarium géant, ressemblant aux engins nevroformiques, des théropodes et des brontosaures, aux bouches émoussées, n'osent s'entretenir, du regard, avec ces interfaces, qui sont en connexion avec les néphilims. Ils fantalisent, toujours, plus, ces forêts obscures. Subitement, l'un des environnementalistes tombent de ces échaffauds, là où, les créatures, dont les électro-récepteurs sont convoités, s'avèrent être plus en plus importantes, dans ces sentinades. L'électricité, dans l’air, permet ces types de captances. L'environnementaliste, modeste, y devine, sur ces lignes ravagées par les obscurités, connues de tous, qui provoquent des phobies monstres, s'informe clandestinement. Les soupirs laissent place à cet état des choses.
L'environnemntaliste : les zénons permettent de retenir le déferlement des armées démoniaques, comme suspendus, et, cela, rien semble plus habituel que cela. Une éternité s'est déroulée. Subitement, le nominarium, aux dérapages contrôlés, attend, toujours, cette lumière dite d'exception.
L'un des prédicateurs : Né d'une bonne étoile, cet élu devrait mettre tous les ciels des mondes d'accord.
Some passages of times are resssembling to this divine grace, that the major chosen ones had so much reverated, till being accomplice to this wellness. The calm is watching over the places, that are overthinking, the most, in all case, its bodes well. From the functions of restablising the order, a little bit everywhere, in the far away lands, the most of the chosen ones, that are keeping, with them, these cocardes, are showing, in authoritary weapon of a ruling power, during the events, the runnest, during which the brewings of the secundary worlds are showing a such diversity. The breeds for speed are not ceasing to culminate the summital steps, at which they must face with. This, the pretorian guard, more and more predominating, in the gestion of the chosen ones, and, their secular and elogious weapons, is behaving itself as a old skin. Capable of everything, the few mesquins and bastardizing leaders to fights are prowling, on it, in these arenas of crowds, that are re-imitating, with a dissimulated fatality, the wind and the spirit of the tournament, in order to the lightning of the last worlds, in order to integrate the briefy behaviours of these confederated to that, and, the pretorian guard, so presting, are whimpering secretly, till the death comes, the slightest drifters, in driftingness towards the wheeling turning picks, and, the pyraformical mastabas. The disjunctive actions are current deeds, and,the guilds of pirates and the flibustiers are combing themselves of these insults. The living encyclopedies, that are hardly reachable, from the rediscovering of the morsels of the past, that anyone done the bad meeting, is burying themselves in this civilisationnal tomb, are always, noetical, and, are living for the perpetuation of the transmission of the knowledge. A transition, hard to wash with elbow's oil, is at its parachievement, whilst the closed eyes, by the salted teardrops, are painfulle openingly, for that the daylight is opening,. The faces are riddled even more, by the zinzibulations. The mountains of engines are the dailiness of these caught between the flows of the times. The sum of victories privilegiated by the clerks and the other doers, with another political functions, for the cities, has some lucrations.The new skin of the capital city reflects the youthness of the spirit of the saviour. The innovating spirit seems to have, also, touched the valestudinary ones, whom the lights of beings of the heroes are coming back to be, again, captured. At the hours of the great nomination of the chosen ones, that strikes, time to another, the civilisationnists, that are admiring, by the way, the theoformical statues, with the symbolical anchoringnesses, in these melting wells, that are absolutely breathtaking, and, putting an end to all tergiversations on this pantheon of heroes, are making reshimmered the transmodal cups of the times, till accepting on it, the environnemental contraints. These mardolists are digging, in a such way tha tthe fiwing ones, with behaviours more strange, are noting down the double aspect, the hidden faces of the suspected demnised ones, for a truth of cause. A maleasingness is avoiding to talk with pure heart. The dissimulated doers are also the first awakeners of the damnations. In all this, the environnementalists are accomoding themselves, whilst the some cercopitheques from this giant insectarium, ressembling to nevrofromical engins, some theropides and brontosaurs, with sleuthy mouths, are not daring to have dating with a glance with these interfaces, that are in connexion with the nephilims. They are fantalizing, even mire, these dark forests. Suddenly, the environnementalists are falling down these structures, there, where, the creatures, of which the electro-receivers are coveted, are proven to be more and more important. In these gleamingness of the pathways. The electricity, in the air, allow these ypes of capturingnesses. The environementalist, modest, is guessing, on it, on these lines ravaged by the darkness, known by all, that provkes some monstrous phobias, is getting informed clandestinely. The grousings are letting place to this state of things.
The environementalist : The zenons are allowing to hold back the downpour of the demoniac armies, as suspended, and, that, nothing seems more usual than that. An eternity has occured. Suddenly, the nominarium, with controlled misdeeds, awaits always this light so called exceptionnal.
One of the predicating ones : Born with a good star, this chosen one must put all the skies of the worlds agree.

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