Le nominarium II / The nominarium II

Les macchabées, sortis de leurs antres grisoulées, ignifugent les moindres artéfacts, qui noircissent, à la flamme noire, afin de rendre suffisamment inactifs, les choses, qui leur vaudront la vie. Mais, ici bas, la vie ne représente guère grande chose, lorsque le grand au-delà n'est qu'un plongeon. Subitement, les grands rapaces, aux élytrums perforés et recousus, qui servent comme des agrippants, en réelles toutes circonstances, comme domptés par des commandeurs des vents tormentieux, qui les font virer en haut, en bas, de manière multidirectionnelle, tout en prenant soin à ne guère manquer aucun déroberie d'artéfacts, de portes, cyclonisent de manière à repousser, au centre de l'attraction, les fêlés. Les agrippeurs à voile ténébrique glissent d'une descenderie à une autre, avec une aisance folle, jusqu'à que les sorciers se redécouvrent des qualités de bruiseleurs. Le dernier cloaque, dans lequel les goules postureux et ravisseurs, malmenant, sans retenue, les arachnoïdes tarentulaires et lyrimorphiques, et des bizzareries, trachnant jusque-là, ne font que pugiler, jusqu'à offrir, dans ces trémies, quelques trachées arrachées, est à leur portée. Les parois, dans lesquelles ils longent, affinent le bruit ferrailleux, voire caverneux. Les cavernoïdes, qui trancheraient leur carotide, dès que leur sens repèrent leur présence, se confrontent à la rigidité des esprits étroits. A peine enjôlées, par ces platellements, qui supportent la forme de ces bien charpentées et masticoïdes créatures, les inconciliants rappliquent, à toute vitesse, pour les annihiler. Jusqu'alors, inéquilatéraliser, les quelques bataillons de droïdes, dont les armatures sont réutilisées, de telle manière à forger cet esprit contre le monde du visible, le plus dur, le plus résistant, qui transverse, avec un tel irriguement que les bêtes infusoires aboulent, dans ces rappels, utilisent des instruments positroniques, afin d'y établir, une fois pour toutes, la fin de ces genres invasifs. La vitesse, à laquelle les choses vont, transperce le corps figé, immobile, et, ancré sur ces pieds, jusqu'à le faire tomber de son piédestal. Dans tout ceci, les sorciers, aux confettis de haillons, reculent, juste à temps, avant d'être comme plantulés. Heureusement qu'ils s'enlierrent à ces étouffages des derniers pourtours, avant l'abîme, la chance n'a guère souri à tout le monde. Le lacéroir fonctionne, tandis que les sorciers font le grand écart, pour éviter le déchiquetage. Subitement, dans les bas-fond, la pimprenelle, et ses geôliers, est dandée, par ces secouages si violents, que les désancrages de ces clous plantés profondément dans les parois des cavernes, s'envortexe, seule, dans ce vortex, jusqu'au moment crucial, où, les crucifiés, sur les places des ténèbres, y soulignent un regard effrayant et inculpateur.

The dead walkers, coming from their greyed lairs, are ignifuging the slighest artefacts, that are blackishing, at the black flame, in order to render enoughly unactive, the things, that will cost the life. But, downthere, the life is not representing big thing, whilst the great beyondness is just a dive. Suddenly, the great rapacious, with elytrums, perforated and reweaved, that serve as climbers, in real all circumstances, as tamed by some commanders of the tormentating winds, that are making veer upward, downward, in a multidirectionnal way, in all taking care to miss any thievery of artefacts, of gates, are cyclonizing in order to impel, in the centre of the attraction, the crackled ones. The darky veiled climbers are slippering from a fall to another, with a crazy easiness, till that the wizards are rediscovering themselves some qualities of noisers. The last cloack in which the bestrong ghouls, illleading, without convenience, the lyrimorphical arachnoids and the cutting neck oddities, right, up to there, is within reach. The walls, in which they go alongside, are affining the iron noise, to cavernous. The cavernoids, that will cut their throat, as soon as their senses are spotting their presence, are confrontting to the rigidity of the narrowed spirits. Barely, embellished by these flatteringnesses, that support the form of these well built and chewing creatures, the unconciliating ones are respeeding, in a steady way for annihilating them. Right, up to there, unequilaterize, the few batallions of droids, of which the armatures are reused, in a such way of forging this spirit against the world of the visible, the hardest, the most resistant, that transpours, in a such irrigating way, that the infusing pond, that the infusing beasts are going further, in these sinks, are using positronical instruments, in order to reestablish, once for all, the end of these invasive gender. The speed, at which the things go, is transpiercing the body fixed, immobile, and anchored on these feet, till making them fall down from its oeverelevated spad. In all this, the wizards, brittled like, are going bacward, before being like plants. Hopefully that they are getting ivied by these mufflers of the last vicinities, before the abyss, the chance is not with everybody. The scrumbling pond is functionning, whilst the wizards are on both side, in avoiding the scrashingness. Suddenly, in the lower ponds, the pimprenel, and, her jailers, is quaked, by these topplings overs, so violent, that the disanchoringnesses of these screws planted deeply in the walls of the caverns, is getting vortexed, alone, in this vortex, right up to the crucial moment, where, the crucified ones, on the spots of the darkness, are underlining, on it, a firghtening and inculpating look.