La vieille enfumée V / The auld reekie V
- Nipon Duong
- 8 avr.
- 4 min de lecture
Lug : Si les enfers arrachent ce cœur, que les bataillons, dont les chefs autocratiques doivent un centuple de valeureux services, n'ont jamais mis en doute. Les lointains souvenirs de ces retrouvailles le seront. Dans cette tenaille du temps, les tenues émotionnelles serrent le cœur de n'importe quel cercle.
L'un des angelots : Le camp, qui gère cette troupe férale, cupidise, jusqu'à mettre en écorchaison les moindres sceaux de lumière. La dormition a emprisonné, en eux, ces sentiments de chaos, que plongés dans les abîmes. La lumière ozalique n'exute pas les emprises de ce mal obscur, mais, sérénise un temps soit-il, les esprits.
Lug : La fiole bleuacée, jamais endormie de ce sens encapturé de pourvoir réjuvéniliser a des propriétés, de taille, que les mages vantent la magicalité. Les quelques enfournées, dans les flammes brûlantes, donneraient une plissure de larme, mais, pour le reste, donnant vers une jolie fin, ce qui n'est jamais offert, rien ne destine droit.
Soudain, l'ambassadeur de la lumière, Lug, y remercie, mille fois, les descentes pluvieuses des ciels, qui réabordent, avec un train d'enfer, ces sujets maléfiques, d'une manière différente. Les nuées d'ombres semblent vainquables, lorsque le chef angélique, au comportement rictuséen étrange, y conduit une nixée vers l'indéfinissable propagation, où, le mal n'est qu'une vaste facétie d'interprétation.
L'un des anges, brandissant des épées scintillantes et esplendiques : Nous donnerons une fin heureuse à tous ceux, qui essuient le globe obsidien, l’œil des dieux, rattaché à une étoile supermassive. Par optimisme de séraphin adulateur de cette imprégnation mentale, l’indiscutable et arroseur de malheur œil, parmi tant de mondes dévastés, qui est, continuellement, aimanté aux seins infèlables, est fourbe et menteur.
Toutefois, Parangon et Lug, à part, se rapportent à la lumière, se reconcertent.
Parangon : Tous comptent sur vous ! Nul paupiant l’œil offusque, qui renaturent le mal vivant. Bien effeullés, les quelques dieux le sont. Nous serons l'armée de dieu, mais, hélas, dans la chose, dans laquelle plonge toute chose, il y a un puits, un vide, à l'intérieur duquel le sens de la lumière n'a plus sa place. Pourquoi tant de pugilats ?
Lug, les larmes trahissent sa sérénité : Une chance pour que les adversaires de l'instauration et le rétablissement de la lumière, y ressentent les moindres regrets. Ils escomptent les résultats, et, parmi les résultats joyeux, les visages des siens ne semblent avoir une croix. L'ndestrutible croisade revêt le même symbolisme, la croisade des temps, qui signifierait notre fin. Un peuple de passage. Quelle lumière doit accompagner quel chemin ? Quelle est cette forme d'immortalité, que l'on ignore, sans chair ?
Paragon : Peut-on croire que la divinité suprême est de notre côté, au bout de toutes ces guerres ? Le compositeur du cosmos nous flanqueraient avec ces seuls visages ? Les compositions atmosphériques ne les permettent pas. Un tort de sens, que les anges n'azurent pas dans ces ciels présageux ? Ange de la mort !
Lug : If the hellmouths are taking out this heart, that the batallions, of which they must owe a hundred of valorous services, have never ever putten in doubt. The distant souvenirs of these regroupings will be it. In this struggle, the emotionnal held are serrying the heart of any circle.
One of the little angels : The camp, that manage this feral troop, is cupidizing, till putting in scorhing the slightest emblems of the light. The dormition has imprisonned, in themselves, these feelings of chaos, that plunged in the abysses. The ozalical light does not take away the controls of this dark evilness, but, serenate a time, that it is needed, the spirits.
Lug : The bluish flask, never ever slept of this in-captured sense of wishing rejubenize has some proprieties that the maguses vent the magicality. The few doomed, in the bruning flames would give a folding of tears, but, for the rest, giving towards a happily after end, what is never ever offered, nothing destinates right.
One of the angels, wielding some scintillating swords : We will give a happy ending to the ones, that are washing the obsidian globe, the eye of the gods reattached to a supermassive star. By optiism of seraphim adulating of this mental impregnation, the unnbearable and spreading of evilness eye, among so much devastated worlds, that is continously magnetized to the uncrackled ships, is not reliable.
Sudden, the ambassador of the light, Lug, is thankfulling himself, the rainy descents of the skies, that are reaboarding, with a hell of a speed, these malefic subjects, of a different way. The clouds of shadows are seeming vanquishable, whilst the angelica chief, with rictusean strange manner, is driving a nixedness, towards the undefinable spreadingnesses, where the evilness is just a vast facetiousness of interpretation.
However, Paragon and Lug, apart, are rebringing themselves to the light, are refocusing themselves.
Paragon : Everyone is counting on you ! Anyone is covering the offuscating eye, that renatures the living evil. Quite lonely, the few gods are. We will be the army of god, but, alas, in the thing, in which all thing plunges, there is a well, a void, inside which the meaning of the light has no longer its place. Why so much pugilates ?
Lug, the tears are betraying their serenity : A chance for that the adversary ones of the reestablishment of the light, are feeling, on it, the slightest regrets. They are escounting the resultats, and, among the joyous resultats, the faces of the siblings do not seem to have a cross. The indestructible crusade is covering weel the same smbolism, the crusade of the times, that would mean our end. A people of passage. Which light can accompany which pathway ? What is the form of immortality that we do ignore, without flesh ?
Paragon : Can we believe that the supreme divinity is on our side, at the end of all these wars ? The compositing one of the cosmos would flack us with these only faces ? A twist of meaning, that the angels are not azuring in the omening skies ? Angel of the death !

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