La vieille enfumée IV / The auld reekie IV

C'est alors que les voix désincarnés, tout autour du cénacle, installent une nappe atmosphérique lugubrissime. Les dorénavant prévoyeurs, dont la prévoyance infinie permet à mettre au jour de nouveaux comportements, face aux dissimulateurs, plus qu'ataviques. Dans ces portes moribondes, par lesquelles les revenus vers les lumières cénaclières et ambassadrices de la nouvelle portance de la lumière, restituent un voyage d'empiétement, jusqu'à monter, les uns contre les autres, les bataillons d'excavation, tous, perdus. Les journées d'entraînement épées, qui avaient tant éprouvées les esprits tremblant, chaque seconde, pour la fine fleur, sont, rapidement, bousculées par la nouvelle rosée matinale, qui réveillerait, parmi les conciliateurs, les souvenirs, d'où, les ombres propagatrices aient pu enlever, les uns après les autres, les lumières régionnantes. Le resserement fatédiques, sur eux, signe les débâclures, qui avaient tant tinté que les oreilles des murs des cavernes prouveraient la striurisation de ces gemmes, dans ces oublis. Les merveilles gemmiques géodésiques ne font écarquiller les yeux intraxistes. Subitement, le chevalier solitaire et imputrescible, tel le grand réprimateur des ombres, Cryos, dont la chevaleresquerie semble défier toutes les cours, jusqu'à atteindre, dans ce cœur de lumière fantabulique, les véritables porteurs de fardeaux, y a l'alchimie des anciens, ce qui s'avère anastasique. La réminiscence de cette édifice porteuse de la vie immortelle, pour être réalisée, doit élire un vivant. L'ossature de cette édifice, laquelle semble être irrassemblable, laisse peu de chances à ces encore, investis à devancer, dans cette guerre titanomorphique. Les titanologues s'inquiètent pour le sort de ces relégués. Les réinvitations multiples à invoquer les entités lumineuses, qui luminescent les quelques runes, défaisant les sortilèges, les plus courus, du plus parangonesque que les autres, déclenchent une série de révélations augurales, dont les éléments de la naissance interdite d'une force, née de prière, qui ont provoqué tant de remous et tant de tumultes cosmiques, que les seigneurs et leurs royaumes ont été impacté, durant leurs ères, tombent à la vue de ces quelques décisionnaires finaux. L’œuvre de l'immortalité de leur esprit demeure seule, lorsque, encore, les révérés par tous restent, avec leurs questions. Toutefois, Parangon, inidiomant, jusqu'alors, qui n'a guère dit son dernier mot, y pousse à la confération.

Parangon : Dans les antres fétides, où, les peuples menacés, qui couffent les créatures schismatiques, afin de renouveler leurs jours, auprès du seigneur, sont bousculés, dans leurs choix, une expédition de la dernière chance s'impose. L'hélichryse cueillie semble si, encore, avoir cette vigueur.

Lug : Les pathétismes des troubadours, et, des ménestrels prouvent que, bien, des dragons indolants et capricieux sont indomptables ont servi à tant de servilages. Qui détouneraient les lumières de son sein gisant ?

Parangon : La pathétie est partagée.  Les pattes lyriformiques de ces arachnidés géants, dont les retours haptiques remontent jusque-là, seront nos guides. Les rimailleurs savent-ils qu'entreprendre avec les prétoriens peuvent augmenter l'expéditivité des leurs vers les enfers ? 

It is then that the disincarnated voices, around the cenacle, are settling down a gloomy atmospherical neap. The from the times ofrth preseeing ones, of which the infinite prevention allows to make born new behaviours, facing the dissimulators, more than atavical. In these moribund gates, by which the came towards the cenacling lights, ambassading of the new lightbearing, are restituting a voyage of shamblingness, tll putting in opposition, in a systematic way, the ones after the others, the batallion of excavation, all, lost. The journeys of training of swords, that had so spured the spirits, trembling, each secund, for the fine swordmen, are rapidly sunk by the new matinale dew, that would awake, among the conciliating ones, the souvenirs, henceforth, the spreading shadows could have taken out, the ones after the others, the regionning lights. The  fateful reserryingness upon them, is signing up the debaclingnesses, that had so much tinkled that the ears of the walls of th caverns would prove the striurisation of these gemstones, in these oblivions. The geodesical gemstones' wonders are only widening the intraxist eyes. Suddenly, the solitary and imputrescible knight, the great redeemer of the shadows, Cryos, of which the knightship is seeming to defy all the courtyards, till reaching, in this fantabulical heart of light, the true light bearers, is, on it, the alchemy of the ancients, what proves to be anastasical. The reminisce of this edifice carrying out the immortal life for being realized, must elect a living one, Thebone structure of this edifice, which is seeming not ungatherable, is letting few chance to these again, entrusted to pass in front of, in this titanomorphical war. The titanologists are getting worried about the fate of the impelled ones. The multiple reinvitations to invoke the luminous entitites, that are luminescing the few runes, undoing the charms, the common doingnesses, of the highest paragon than the others, are triggering a serie of augural revelations, of which the element sof the forbidden birth of a force, born of prays, have provoked so much cosmic tumults, that the lords and their realms have been impacted, during the eras, are falling into sight of these few final decisionnary ones. The workship of the immortality of their spirit is reamining alone, whilst, again, the reverated by all are remaining, with their questions. However, Paragon unidiomatizing, right up to there, who is not saying his last word,  is pushing to the conferation. 

Paragon : In the putrescent dens, where, the threatened peoples, that lull the schismatical creatures, in order to renew their days, among the lord, are toppled over, in their choices, an expedition from the last chance is getting imposed. The helychryse harvested is seeming so, again, to have this vigour. 

Lug : The pathetisms of the minstrels are proving that, well, some indolating and capricious dragons are untamable. have served so much slavingshingnesses. Who are distuning the lights, from its hushing circle ?

Paragon : The pathecy is recognized. The lyriformical forefeet of these giant arachnides, of which the haptical returns are coming from there, are our guides. Do the versifiers acknowledging that are cosed with the pretorians, can augment the expeditivity of their own towards the hellmouths ?