La vieille enfumée III / The auld reekie III

Au sein de la république de toute chose corrompue, dans laquelle les faux philanthropiques jobardeurs, de ce tribunal révolutionnaire récidivent, une fois de plus, en excommuniant les quelques élus, les vieilles lumières, provenant des premiers ondes, ne sont plus claires, pour ces communautés de destins. Les comprometteurs de ces desseins ne lésinent guère sur les dépenses, pour extraire la vérité, la gouvernance de ces consortiums maléfiques, aux seins desquels ils éclipsent toute lumière. Les élus, sans cette expérience de la mort, y regrettent de n'avoir plus vu agir la lumière, qui n'avance plus, sur les cratères de fonds ténébriques. Des luttes raciales et espécistes, dans ces creusets, se rejettent, inempêchablement, sur ces prises de gouvernance, où, des légions, d'une posture de dieu, plaidassent pour le clumoir. D'avancées en avancées, les intimes convictions se fondent, sur la comparaison des destinées achevées, abouties, et, réalisées, sans réelles passerelles de compréhension, toutes dressées, et, deviennent des bagues sigillaires. Les seuls épieurs des camps de la destructeurs, quoi qu'en soit la nature, d'ombre, de pénombre et de néant, peuvent versoyer les bagues inscrites d'un sigil démoniaque, dans ces plateaux, que la lumière adoucie, et réimprégnative se renforce.  Subitement, sous l'égide des gardiens de la lumière, l'ermitissime, Parangon, en avant, pour qui les armées crépusculaires se hissent, jusqu'à retirer les forces vitales de ces parterres d'agents du bien, agissant telles des enclumes, s'oppose au grand rassemblement, avec l'élégance des mondes souterrains.

Parangon : A cette demi-lune, les passeurs de l'aube, réinterprétant les victoires, doivent avoir trouvés complicité avec des gardes du crescent. le légionnaire, Prétorius, chef des prétoriens, qui forme une toujours effrayante arcade, dans n'importe quelle arène, a enfouit les racines pourries dans ces lignages prédynastiques. 

Lug : Des séparations de lignes espécistes peuvent être profitables aux goules.

Parangon : La panique devient vent et le grand orientateur, Éole, pourra tantôt l'orienter vers la folie, tantôt vers la calmaison. 

Cryos : Comment ces girons secondaires peuvent être encore, debout, sans ce fortificat ?

Parangon : Tous inégaux face aux apparitions créaturesques sombres. Ils n'égratignent pas du tout les couvertures des ombres.  Ce fortificat pourrait, avec une immédiate effectivité, être plus utile. Les guerriers trôlesques sont aux portes de l'entente avec les endoués à tréuser les pénombrelles du clan des crescents.

Lug : Les golgothes, intimissimes avec les seigneurs obscurs, peuvent avoir des faibles pour ces idylles. Les lampades, tout aussi dangereuses, peuvent lui donner ces rabiots. Le lucre d'avoir combattu ces gentes névrotiques est d'avoir perçu le réservoir de pouvoir anéantique. Déprimée, la vie est représentée, ce qui démontre qu'ils craignent les diamants. 

Cryos : Les pluies diamantifères, derrière lesquelles cacheraient une atmosphère pontalesque, entre deux macrocosmes, créent ce fantasme. Juste, à peine deserrées, de ces têtes, les tiares empossédées peuvent créneler ces ombres. La compositeur chimique de cette atmosphère, l'alchimiste suprême, peut contenir ces propagations du néant.

Within the republic of all the corrupted things, in which the false philanthropical ones, of this revolutionnary tribunal are recidiving, once again, in excommuniating the few chosen ones, the auld light, coming from the first worlds, are no longer cleared, for these fellowships of destinies. The compromising ones of these plans are not lesinating themselves about their expenses, for extracting the truth, the governing of these cmalefic consoritums, within of which they eclipsing all light. The chosen ones, without this experience of the death, are regretting, on it, of having not seen the light act, that is advancing no longer, on the craters of the dark backgrounds. Some racial and species' struggles, in these deadpools, are unavoidably throwing themselves on these taken of the governing, where, some legions, froma divine's posture, are pledging for the villy pond. From advanced to advances, the intimes convictions are founding, on the comparingness of the achieved, finalized destinies, without real junctions of coprehension, all stood, and, are becoming some sigillary rings. The only spying ones of the camps of the destruction, howbeit, the nature, from shadow, twilight and the emptiness, can downpour the rings inscribed of demoniac sigil, in these plateaux, that the softing and impregnative light is getting reinforced. Suddenly, under the aegis of the guardians of the light, the hermitaging Paragon, forwarding, for whom the crepusculary armies are hoistering themselves, till withdraw the vital forces of these fields of agents of the good, acting such as anvils, is opposing to the great rassembly, with the elegance of the undersided worlds. 

Paragon : At this half moon, the sliders of the aube, reinterpretating the victories, must have found accomplice with some guards of the crescent. the legionnary one, Pretorius, chief of the pretorians, that are always forming a drightening arcade, in any arena, has buried the vitiated roots in these predynastical lines. 

Lug : Some separations of species lines can benefit the ghouls. 

Paragon : The panic becomes wind and the great orientating one, Eol, could, at the same times, orientatz towards the craziness, or the calmingness. 

Cryos : How can the secundary folds stand again, swithout this fortificate ?

Paragon : All unequal facing the dark creature like appearances. They are not scratching at all, the covers of the shadows. This fortificate could, with an immediate effectiveness, be more than useful. The trolloc warriors are at the gates of the entent with the talented ones to very use the twilightingnesses of the clan of the crescents.

Lug : The golgothas, intime with the dark lords, can have some weaknesses for these idylles. The lampads, also dangerous, can give them these lucres. The lucre of having beaten these nevrotical genders is is of having perceived the reservoir of the annihilating power. Depressed, the life is represented, what demonstrate that they fear the diamonds. 

Cryos : The diamantiferous rains, behind which hide a junctionnal atmosphere, between both macrocosms, create this phantasm. Just, barely, desseried, from these heads, the tiares empossessed can crenalate the shadows. The cchemical ompositing of this atmosphere, the supreme alchemist, can contain these spreadingness of the emptiness.