La vieille enfumée II / The auld reekie II

Les incessants mouvements du titan, dans ces étendues ferrugineuses, chamboulent les vagues du temps, jusqu'à faire apparaître des anomalies. Des gradients dans ce voile aminci se distinguent, de telle manière que les gros volumes intérieurs dans ces sanctuaires de pierres semblent épouser les nuances. A partir de ces indices du temps, les diaposonneurs méchamment affligés par ces tourne-boules de ces créatures de traction gigantesques, qui contre-dévastent, en prêtant attention aux moindres chamboulis, comme il existe, dans ces creusages du temps, y plantent solennellement les hampes, et, les poteaux totémiques, jusqu'à révéler les énormissimes diapasons, dont les moindres sons émis provoquent un sentiment de reconcentration sur soi. Un temps de chamboulement maîtrisé, jusqu'à pouvoir agir, à l'unisson, comme si les vallées mi-souterrain implorerait, face aux plateaux bourrus, l'acte univoque, capable de faire transvivoter le dragon cosmique, la bête du spectacle céleste, et, le guerroyeur des flots des ténèbres. Tous les qualificatifs et tous les superlatifs ne cessent de vanter la cause et l’œuvre des clans de la dragonité. La rencontre avec le cosmos se déroule, toujours, avec des frictions, et, des éructations. Comme si les choses n'arrivaient guère seules, les bonzes d'un monastère, contemplant l'acoustique de ces encaissements façonnés par les revenances du grand au-delà, se blottissent les uns avec les autres, afin d'y entamer, grâce à Duhbe, le dragon du tambourin majeur, une danse des flammes, qualifiée d'hystérique et saccadée, qui est ancestralisée, par ces krupas, et ces bronzes, qui se déchaînent afin de maîtriser le tempérament de la créature indocile, indomesticable, et, indressable. Avant que l'énergie des troupes se déporte vers la créature revigorante, et sphagocytaire, les dessins des pas, prêts à entonner un hymne de la dragonité, jusqu'à que cet écrou envissé sur cet axis mondis, reserre le faisceau du passage unique, par lequel descendra le créature souveraine, sont rapidement effacés par les smogs, provenant des terres arasinées. Les émotions se conjuguent, lorsque l'équilibre basique n'est plus tenu. Sous les yeux trêts de ces salamandres tavelurées, qui suivent la sale lamentation des terres ocrales, le smog redressent les particules, dans l'air, pour après, faire les tourbillonner, jusqu'à que l'ascension atmosphérique redresse la tête de cette créature prophétique. Les digues s'érigent, tout le long de ces abords, épinaillés de ces sortes d'admirateurs, lorsque les premières apparitions cougnent, après avoir traversé le travertin. Les joies contagieuses, et, amplifiées provoquent les premiers cris, les stridulations, les zinzibulations de ces espaces de vie, jusqu'à se houlettent des lambranlements fantomatiques. Sur les mesas oniriques, où, le camp de cette caste supérieure entrent dans une concentration ultime, afin d'y indévier les forces psychiques de ces sur-décisifs. Aucune pensée ne doit faire ombrage à ces guides psychiques. Les métronomes sont, tout aussi, installés, dans ces terres résonnantes, y touchent, celles-ci d'une émotion solennelle, comme jamais disparue. L'éreintement et l'éprouvage des corps, du à l'attente, se ressentent, lorsque le fantasmoir, résidant dans un lieu torrentueux, s'entille, jusqu'à ne savoir jamais prendre quel sens.

Sur les étendues métalo alcano-terreuses, et des gemmes fibroradiées, où, les photons et les neutrinos ne cessent d'apopitoyer les quelques lâchés de goules enfuraux, les mis en gardes du camp des grands maîtres du contrôle d'esprits prennent forme, lorsque les combinaisons distendues, et, dysmorphisées, à cause de cette caractéristique auxétique, provoquent des danses grabatantes, comme pour jamais être interrompues, par ces désoclarisations. Le furoncle répand l'horreur. Tout comme les révoltés, la fauverie se rebelle. Une résonance de terre, qui rappelle les abîmes, provoque, de manière froide, un esprit mégamanipulateur. Une mégalomanie, telle que les souverains reconnaissent une fascination tenant au temps, aux nombres importants de corruption des âges, traîne des condisciples, dans ces couloirs des pouvoirs. La républque de corrption, et, ces élus esseulés, est la première ciblée.  Une guerre des politicailles s'illustre.   

The unceasing movements of the titan, in these ferruginous stretches, are changing the waves of the times, till making appear some anomalies. Some gradients in this thin veil are getting distinguished, in a such way that the big volumes, inside these sanctuaries of stones are seeming to spouse the nuances. From these clues of the times, the diaposonning ones, badly affligated by these whirling turnings of these gigantic creatures of traction, that are counter-devastating, in borrowing the slightest downfalls, as it exists, in these furrowings of the times, are planting solemnly the hamps, and, the totemic pots, till revealing the enormous diapasons, of which the slightest sounds emitted are provoking a feeling of refocusing in itself. A time of topplingness controlled, till being able to act, in an unified way, as if the mid underground valleys, before the fulled plateaux, the univoque act, capable to make transvivotating the cosmic dragon, the beast of the celestial spectacle, and, the warmongering one of the flows of the darknesses. All the qualificatives, and, all the superlatives are not ceasing to vant the cause and the workship of the clans of the dragonship. The meeting with the cosmos is getting happened, always, with some frictions and some belchingnesses. As if the things did not come lonely, the monks from a monastery, contemplating the aoustic of these casings moulded by the retrunings of the great beyond, are getting stucked the ones with the others, in order to start, thanks to the domination of Dubhe, the dragon of the major jangling drum, a freaky flames' dance, that is anccestralized by these krupas, these bronzes, and, these nagas, that are erupting in a way to control the temper of the undocile, undomesticable and undressable creature. Before that the energy of the troops is getting deported towards the revigorating the drawings of the footsteps, ready to chant a hymn of the dragonship, right up to this screw screwed on this axis mondis, is reserrying the ray of the unique passage, by which the sovereign creature will arrive, are rapidly erased by the smogs, coming from some arasined lands. The emotions are getting conjugated, whilst the basic balance is not held.  Under the beady eyes of the salamander, that are following up the filthy lamentation of the ochral lands, the atmospherical ascension is redressing the head of this prophetical creature. The barracks are getting erected whilst the first appearance are like trapped in the neck, after having criss-crossed the rib, the contagious and amplified joyces are provoking the first crys, the stridulations the zinzibulations of these spaces of life, till that some widening branlatings are foaming.On these oniric mesas, where, the camp of this superior cast are entering in to a ultimate concentration, in order to undeviate the psychical forces of these overdecisive ones. No through must do shadowing these psychic guides. The metronomes are, also, settled down in these resonating lands, are touching, on it, these last ones of a solemn emotion as never disappeared. The exhausting and the spurringness of the bodies, owed to the await, are getting felt, whilst the phantasmicalness, residing in a torrentful place, is getting arrested, till never ever knowing where to go.   

On the metalo alcano earthed lands, and of fibroradiated gemstones, where, the photons and the neutrinos are ceasing just stabling the few leashings of ghouls, the warnings of the camp of the great masters of the mindcontrolloness are taking ofmr, whilst the distensed, and dysmorphized gears, because fo this auxetical characteristic, are provoking some down dances as for never ever interrupted, by these desoclarizations. The awful sighted lands are widespreading the horror. As the revolted ones, the wilderness is getting rebellious. A resonnance of land, that reminds the abyss, is provoking, in a freezing way, a megamanipulating spirit. A megalomany such as the sovereigns are recognizing a fascination, holding to a time, with important numbers of corruption of the ages, is  training some condisciples, in these corridors of the powers.  A war of political ones is getting illustrious.