L'ébénier I / The ebony tree I

Ils contrastent fortement, d'une région dévastée à une autre, au coeur desquelles grossissent des légions. En contraste, l'unité protéiforme, comme indessinable sur ce continent antipodique, semble, une fois de plus, rivaliser contre les ombres, dont les persécuteurs se heurtent aux ramifications, plus que insipides. Les civilisations s'en retrouvent absolument changées, jusqu'à mériter cette image, qui leur colle à la peau. La sempiternalité de la guerre entre révélateur et dissimulateur, n'ayant eu d'arrêt, tout ce temps, est euphémique, comparément aux chocs des mondes. Cependant, la mal pensance des oracles y infuse, par ses racines pétrissées, et, inertes, dans les forêts souffrantes, de son non expansion, des créatures témoignantes, quelque peu, trimbées. Heureusement, les signes d'existence de cette part d'unité perdue ont des présences, dans les quasi amnésiques moments, où, le modeste et grat pour le temps consacré à ne guère faire mourir le feu d'espoir, Mote'a, et la félicitée, Orfin, y capturent, respectivement, l'essence d'agir. Accoltés aux créatures suiveuses, et, imparables, Mote'a, et, ses acolytes gorillesques y remportent, durant ces périodes guerrillières, la confiance difficilement accordable des commandeurs supérieurs. Les émissions, même, intermittantes, de cette existence, au-delà de ses limites effarantes, qui vaillent tout l'or du monde des nains, jusqu'à les invectiver, sur ces corniches piédestalesques, ne rompant guère les ordres de guerre, sur lesquelles elles sont précisément prises, sont des muons, que le fustigé chevalier, au pouvoir cardoïdal, à cause, notamment, des vents semi-chaotiques, y grante les moindres quantifieurs de ces fléaux, comme s'étant assouplis. Alors que, dans le feu des races guerrières, Fozin, lequel veut primer sur la mort, comble ce vide, puis, rassemblent son courage, glissemente, avec cette lumière, enfin, en arme, jusqu'à faire frémir les abhorrées répulsions, pour d'y créer une diversion multiversale, l'accédant aux flammes apitoyées, Onus rubin, interdit au pied des lahars, saignant abondamment, comme si le cœur de bataillon aurait pêché d'orgueil, jusqu'à perdre la mission incontinuable du sauveur, a, quant à lui, le choix funeste de sauver, d'un déferlement ignitionnel, ces mondes, jusqu'à jeter l'amitié dans l'oubli. Le déchirement d'Onus rubin s'exprime, lorsque les fléaux y dirigent le théâtre des morts.

Onus rubin : L'indigne, Wakros, rend l'effoi, aussi facilement, qu'il cligne de l’œil.

Wakros : De ce métal, rien ne semble être altéré cette fascination de cette unité.

Onus rubin : Bats en retraite ! La retraite du fléau, dans l'antre enflammé de cette colère éternelle, doit être proche, avant que les mondes intransformés de l'intérieur y délivrent des intraterrestres.

Wakros : Les pis des mondes ne nourriront pas suffisamment toutes les infériorités, que l'avertisseur final de la ruée rouge, dont il s'est toujours méfié, ne repète pas ces erreurs. Les fléaux ritournelliseraient-ils, une fois de plus ?

Onus rubin : Les mages, et, la chélidoine soigneront les verruqueux, dont la spoilation s'avère cruciale. Quant aux sérologistes, qui y veillent sur les porteurs de sceaux emblématiques. Les piétailles, comme échalassées, et, les co-détenus y renoueront avec l'unité de cœur.

They contrast highly, from a region to another, in the heart of which grow legions. In contrast, the proteiformical unity, as undrawable, on this antipodical continent, seems, once more, rivalize against the shadows, of which the persecuting ones are hurting against the ramifications, more than insipides. The civilizations are getting foud absolutely changed, till meriting this image, that sticks to their skin. The sempiternality of the war between revealer and dissimulator, in not having stopped, all this times, is euphemical, comparedly to the shocks of the worlds. Sudden, the ill thinkingness of the oracles is infusing, by its droughted like and inertial roots, in the suffering of his not expansion forests, witnessing creatures, somewhat, shambly. Hopefully, the signs of existence of this part of lost unity have presences, in the quasi amnesical moments, where, the modest and gratifying for the consacred time for not making die the fire of hope, Mote'a, and the felicity, Orfin, are, repestively, caputing the essence of acting. Sticked to the following up and unbearable creatures, Mote'a and his gorillas' acolytes are winning back, during these warmongery periods, the hardly granted trust of the sperior commanders. The emissions, even, intermitting, of this existence, beyond its astounishing boundaries, are worthy all the gold of the worlds of the warves, till invectiving them, on these honoured spads, not interrupting the orders of the war, on which they are token, are muons, that the fustigated knight, with the cardoidal power, because of the half chaotical winds, is granting the slightest quantifiers of these scourges, as being softened. Whereas, in the fire of the warmongery races, Fozin, which is wishing to prime over the death, is combing, then, is slippering, with this light, infine, in weapon, till making quaver the abhorrated repulsions, for creating a multiversal diversion, the acceding to the apitiful flames, Onus rubis, forbidden at the foot of lahars bleeding abundantly, as if the heart of batallion would have faulted of sinfulnesses, till losing the mission uncontinuable of the saviour, has, as for him, the funest choice, of ignitionnal going off rampage, these worlds, till throwing the friendship, in the oblivion. The splittingness of Onus is expressing, whilst the scourges are directing the theatres of the dead ones.

Onus rubis : The not dignified, Wakros, is rendering the dreadfulness, as fast as he twinkles of an eye.

Wakros : From this metal, nothing seems to be alterated this fascination of this unity.

Onus rubis : Withdraw yourself ! The retreat of the scourge, in the lair flamed of this eternal wrathfulness, must be soon, bafore that the untransformed from the inside world are freeing some intraterrestres.

Wakros : The tits of the worlds will nurture enoughly all the inferiorities, that the final warner of the red gushingness, of which he has always mistrusted, does not repeat these errors. Have the scourges repeated once again, their faults ?

Onus rubis : The maguses, and, the chelidoine will heal the pimpled ones, of which the spoilation is proven to be crucial. As the serologists, that are watching over the carriers of the emblematic emblems. The grunts, as grapevined, and the convicted ones will rekindle with the unity of heart.