L'ionique oniricalité I / The ionical oniricality I

Équinoxe : Apprendrons-nous davantage sur le passé de ces bordures, qui ceignent les tempêtes ?

L'amiral elfe : L'arroi des combattants, le brillant des armes, et, l'unificatrice foi, qui rassemble le tout vivant. Nous en serons les dignes réconciliateurs.

Équinoxe : Les effondreurs, quel que soit leur nature profonde, demeurent des destructeurs.

Tandis que les confidencialités des deux comparses semblent confiants sur les prochains déroulements d'événements, sur les champs de survol, se défragmentant au fil de la dévoration monstrueuse, les horokynésistes troupes, s'alliant sur ces suspensions des mondes léviteurs, se réforment, jusqu'à penser, en outre, d'employer, par honneur, la force, qui jouit d'un millénaire de combat. Mais, hélas, les combats, en terre ancrée dans les régions de tumulte permanent, ne partent guère sur pied d'égalité, lorsque l'hantise évoque un annihileux, et, noir centre de l'univers, capable d'avaler ces multi-galaxies. Le présent, qui reste, à son climax, a pratiquement raison de tous ces bataillons d'extraction, sans exception. Les réveils des armes, tout autour de ces bords apocalyptiques, sont timides lorsque les reculs de tous ces contre-repousseurs semblent se suivre les uns après les autres, dans ces confins escarpés. En outre, les elfes trappistes, qui cillent vers les farons clignés, a des rancs, qu'ils ne peuvent obérer.

Pendant ce temps, dans cette contrescarperie, où, toute l'orgie des broyées a freiné tout, y compris la foi envers ces élus, capabalisés à repousser, les rémanations de la force obscure, la région de lumière, que préservait les déjà réunis, y étudie la torrentialité de ces dévalées absolument à couper le souffle. Les rafleuses créatures sont comme abmorpées, dans ces immenses théâtres obscurifères, par lesquelles les artéfacts, à cause d'une pénurie de combattants protecteurs, ne font qu'ascendre. Le testorat, qui est une garde positronique, donne un arrière-goût à toutes ces immersions obscure, jusqu'à y perdre la polysémie des dieux. Les rictus des régions éteintes, mais, la dernière étincelle, qui peut tout changer, ont fait brèche de ces pourtant inséparables, indivisibles masses. Les scindables groupes, qui tiennent qu'à la consistance et la rigueur des torrentiels, voilà, cardiophylaxés, dans un plastron forgé par les flammes du courage, bien que le noir rime avec courage, ne tiennent compte que partiellement de ces digrammes. L'un des torrentiels tombe nez à nez sur un martinet, évoquant l'esclavage des démonisés, par les âtres.

Equinox : Will we learn, more, about the past of these edges, that surround the storms ?

The admiral elfe : The array of the combattants, the brillant of the weapons, and, the unificating faith, that gathers the all living. We will be the dignified reconciliators.

Equinox : The collapsers, whether it is their deep nature, remain destructions.

Whereas the confidentialities of the both comparses are seeming to be re-insuring about the next unravellings of events, on the fields of overfleeingnss, getting defragmented as goes the monstrous devoration, the horokynesist troops, getting allied on these suspensions of the levitating worlds, are getting reformed, till thinking, by the way, of employing, by honour, the force, that joyces of a millenal of combat. But, alas, the combats, in land anchord in the regions of permanent tumult, are starting on a foot of equalness, whilst the hauntedness evokes an annihilating and dark centrum of the universe, capable to swallow these multi-galaxies. The present, that remains,to its apex, has pratically reason of all these batallions of extraction, without exception. The awakenings of the weapons, all around these apocalyptical edges, are timid, whilst the secludednesses of all these counter-repellers are seeming to follow the ones after the others, in these cranked confines. Otherworldly, the trappist elves, that are cillating towards the cligned folds, have some ransoms that they can oberate.

Whereas in this counterslopes, where, the orgia of broyedness has slowing down everything, including the faith towards these chosen ones, capabalized to repel the remanations of the dark force, the region of light, that preserved the already reunited ones, is studying, on it, the torrentiality of these fallouts absolutely breathtaking. The raffling creatures are like abmorpated, in these huge obscuriferous theaters, by which the artifacts, because of a low size of protecting combattants, are just ascending. The testorate, that is a positronical safe keeping guard, gives a back taste to all these dark immersions, till losing the polysemy of the gods. The rictus of the extinguished regions, but, the last saprkle, that can change eveyrthing, has done breach of these quite unseparable, indivisible masses. The splittable groups, that hold only to the consistance and the rigour of the torrentials, there they are, cardiophylaxed, in a plastron forged by the flames of courage, although the black rythms with courage, are taking account just partially of these digrams. One of the torrentials, is falling onto the whimpering tool, evoking the slavishingness of the demoned by the hearths.