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L'amarante V / The amaranth V

La télépathie, développée par cette espèce maritime, est absolument prodigieuse. De par les mondes aquatiques, les contribuants à cet effort sublime à une guerre de surface ravageante, se réunissent, au sein de ces cités translucides et majestueuses, par lesquelles les terribles vengeances sont arrivées, y détenaient le fil des pensées de la cheffe diluvienne. Une véritable ode lyrique avait trouvé une pertinente guideuse, par les traits rassurants de la générée par les eaux mirifiques. Tout à coup, la seule et unique, narrée par les mers avoisinantes, réapparaît. Les proportions de la foi regagnent les meilleures périodes, d'une époque antérieure. Le cycle renaît, sous l'impulsion de sa bravoure,  retrouvée durant ces périodes de non confrontations d'armées. Une armée est toutes les armées, mais, les guides suprêmes et inférieurs ne peuvent y comprendre l'origine de cette fascination. Dans cet intervalle accordé à cette, dorénavant, frénésie, le bident séculaire, à l'avant toute, Ode, qui se réconforte après avoir perçu les boucles rétroelliptiques, se diminuant de telle manière que les protectorats, les plus sublimes, étaient constatés, galvanise les troupes ramassées, dans ces explorations ultrarisquées, si risquée que les royaumes peuvent s'effondrer, de la puissance des cratères maritimes, à l'intérieur desquels la toute puissance de la fin de tout s'exprimera. Aussitôt que les divulgateurs, en liesse, se comblent de cette absence oubliée, jusqu'à caresser les effets ramificateurs de ces boucles, toujours, fascinantes,refilant à l'intérieur d'une orbe, les seigneurs des abysses, des mers, comme si les dieux étaient de la partie, dénoyautent cette orbe faramineuse, par cette coalition, et, surtout, contre les collusions, la pierre de pouvoir, à restituer à ces réembellissoirs. Il y avait ce type de restituance, à travers, même, les filets d'eau, effilant à travers les mains éclabousseuses des précurseurs. La précursion était si diable, que rien ne sembler décraqueler les entrailles des mondes laviques. Dans ces quartiers présidentiels, où, les parures, les passementeries, et, les espagnolettes splendides s'apprêtent à montrer les prestiges des armées cachées, depuis tout ce temps, dans lesquels les trempées des hippocampes élégants y sont admiroyées, les aquiliformes seigneurs, lesquels y constatent que les nappes d'acides floqueuses, à cause de la dissolution scutéiformique, et calcifériques, sont, dorénavant, un lointain souvenir, y dirigent presque, princièrement, la vénérable pompaison attendue, sauf que les batailles des cloportes les arrachent de cette calmeté d'apparence. Une infinité de vie se réélit, pour cette dernière guerre. Loin du ménage des grues cendrifères, et autres oiseaux huppés, les diluviens, qui rallient le nombre varié des adeptes de cette itchyomania, ce qui redonne un souffle de vie, après que leur espoir incarné y ait fait une haute plaidance pour la cause de ces peuples, auprès la roche de l'éternité, s'anoblissent, lorsque les ailettes sur la tête du diluvien la promue à cette destinée se font vie de tous les mystères alentoureux. Les pierres jaumâtres y sont représentées hydrographiquement, comme si l'homophonie des eaux salvatrices étaient, en continue, dans ces abreuvoirs. Pendant ce temps, lorsque des tuyaux troncaturés, se coquilettisent, jusqu'à subir une pression, cachée, dans ces cavités maritimes, les quelques vaisseaux globicéphales, dont lesquels la luxuriance, principalement, des pilastriers, qui lucarnisent vers les échouaisons des cloportes, et, leurs saignées laviques, est, sans cette assembléees additionnelles des vues, inuteuse, les péricapes fumantes de ces abominations, qui vaguemarchent, sur ces fonds maritimes, y écraseraient l'attention de ces seigneurs illuminés, tournées vers ces enfumées mystifiées. Les rubiacées cueillent, pour l'instant, leur attention.



The telepathy developped by this sea specie, is absolutely prodigious. From the aquatic worlds, the contributing ones to this sublime effort to a ravaging surface war, are gathering themselves, within these translucid and majectical cities, by which the terribles revengefulnesses are arrived the thread of the thoughts of the diluvian chief. A true lyric ode had found a pertinent guide, by the reensuring traits of the generated ones by the mirific waters. All of a sudden, the only and the unique one, narrated by the neighbouring seas, is reappearing. The proportions of the faith are rewinning the best periods, from an anterior pipe times of not confrontations of armies. An army is all the armiers, but, the supreme and inferior guides can not understand the origin of this fascination. The cycle is born, under the impulsion of his bravery, refound during these periods. In this interval accorded to this, from the times forth, the bident, in front of all, Ode, who is recomforting himself, after having perceived the retroelliptical loops, getting diminued in a such way that the protectorates, the most sublime, were constated, is galvanizing the reteamed groups, in these ultrarisky explorations, so risky that the realms can collapse, from the puissance of the sea craters, inside which the almightiness of the end of everything will express. As soon as the divulgating ones, in rejoycingness, are palliding the absence, till caressing the ramificating effects of these loops, always, fascinating, the lords of the abyssalnesses, of the seas, as if the gods were in the party, are taking off the core, of this phantasmical orb, by this coalition, and, especially, against the collusions, the powerstones, to restitute to these reembellishing ponds. There had this type of restitutingness, through, even, the streamlits, going through the splattering hands of the precursing ones. The precursion was so devilishy, that nothing does not seem to crackle the wombs of the lavaes' worlds. In these presidential quarters, where, the splendide decorations are showing the prestige of the armies hidden, all this times,, in which the weltering of the elegant hippocampes are admired, the aquiliformical lords, which are noting down, on it, that the neaps of flocking acids, because of the scuteiformical dissolution, are, from the times forth, a distant souvenir, are princefully the venerable awaited pomping, except that the battles of the fatecrashers are snitching them from this appearing calmingness. An infinity of lifes is geting reelected, for this last war. Far away from the circus of the ashy big birds, the diluvians, that are gathering the variegated  number of adepts of this itchyomania, what regives a breath of life,  after that their incarnated hope had made a high pleading for the cause of these peoples, within the rock of the eternity, are getting nobled, whilst the winglets on the head of the diluvian promised to this destiny are covered of life of all the surrounding mysteries. The piled stones, are represented, on it, hydrographically, as if the homophony of the salvagating waters were, in continuedness, in these drinking ponds. Between-whiles, whilst some troncaturated tunnels, are shelling, till suffering a pression hidden in these sea cavities, the few globicephalous vessels, of which the luxuriance, mainly, of the pilastre's makers, that are corning towards the fall points of the gatecrashers, and, their lavas bleedingnesses, is, without this additionnal assemblies of sightings, unuseful, the smoky pericapes of these abominations, that are wavingly walking on these sea bottoms, would crush, on it, the attention of these enlightened lords, turned towards the mystified reekie. The bedstrawing flowers, the rubiceae, are attracting, for the moment, their attention. 




 
 
 

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