L'alstroète I / Tha alstroete I

Téragone : Tandis que les manœuvres des ombres pour empêcher les passeurs, et, leurs indiqueurs, qui sont des fonctions de plus en plus répandus, les illusionnent gravement d'un palacéum, afin de les faire déguerpir les pourtours, à proximité desquels les cadres des mondes multidimensionnels sont, à une encastration définitive, les illusions, les plus tenaces, ont eu au bout ces quelques attachés à cette lumière, au bout d'un sceptre, à la luire d'une fiole inscrite à refontainer les sublimissimes fontaines de la vie. Connaîtriez-vous, en particulier, les flaconniers, qui adductent les torrents de l'au-delà ?

L'un des elfes : La clarté d'esprit et le clairsemage de la lumière ne peuvent pas servir la pathologie de ces émis à le faire. Une incorrection, qui faut mettre à penser.

Servigon : Les miroitiers, qui carquent, ont, certainement, la pire alliance, à leur compteur, qui soit. Les incarnations des dragons longimorphiques, qui lézardent plus que aisément, à travers les interstices des caris. Nos congénères, les elfes, dans leurs élaborations collaboratives, qui sont, encore, dans ces palladiums, au milieu de nulle part, peuvent en dire le contraire, et, le gorgon bénéfique et poisseux, dans ces poix, en savent, d'un large monde, que nous autres, refusant la misérabilissime trouvaille. 

Téragone : Les décalages des strates prouveraient que des forces éngimatiques, qui étaient, en jeu, ont remoulées cette disharmonieuseté. Les pattouillages des gorgons peuvent révéler les aspérités, et, les anfractuosités. A la fracture béante, les gorgons, tels que les loris, peuvent augurer des ores, tout le long de ces décicatriciels trous, dans lesquels ils ont, par leur piètre volonté de découvrir ou fuir les palais volants, enterré leurs habitations fagotières. Le dieu des terres, une fois invoqué, réagira afin de cautériser ces refermables cicatrices mondes.

Servigon : Les fracturateurs ne sont donc des traites, comme ils apparaissent. Mais, l'esprit de ces gorgons sont difficilement à lire. Quelque chose se trame, à partir de nos résidus d'espoir de pouvoir pénétrer leur esprit. Les terrassiers se tiennent prêts, à l'aube des assiègements, les plus risqués. L'arriviste démiurge, Aphélie, parviendra à diapoitrer ces balconnets, au sein desquels les créatures infernalisantes grandissent. Une théorie du pathos, qui ne saurait expliquer, par des advertances. Ils advertent d'un soleil vert, brillant plus fort. Un agrandissement du panorama des batailles, qui atteindra, prochainement, les cieux, se fera nouveau, et vous serez tous les renouveaux. 

Téragone : Le xanthisme des harpies, perdant leur plumage polychromatique, décrit, certainement, un retour au source de l'espoir. Une conflagration galactique, entre des galaxies de combattants, nous oblige à monter sur nos vaisseaux organoscopiques, ou, dans des vaisseaux rigides. L'holonautisme nous attend, aux portes de cette finale. Quelle porte donne vers cette finale ?

Terragone : Whereas the maneuverings of the shadows for avoiding the sliders, and, their indicating ones, that have some functions more and more useful, are gravingly illusionning them of a palaceum, in order to make quit the vicinities, close to the frames of multidimensionnal worlds, are at a definitive crepancy,  the illusions, the most tenacious, had had at the end of these few attached to this light, at the tip of a sceptre, at the shimmering of the flask,refountaining the sublime fountains of the life. Do you know, in particular, the flask makers, that adduct the torrents of the beyondness ?

One of the elves : The clearsightedness of spirit, and, the clearpathwayingness of the light can not serve the pathology of these emtted ones to do it. An uncorection, that need to be thought.

Servigon : The cutters of the mirrors, that poising the frame, have certaintly the worst alliance, to their acocunt, that beth. The embodiednesses of the long dragons, that are lizarding more than easily, through the interstices of the caris. Our kinds, the elves, in their colaborative elaborations, that are again in these palladiums, in the middle of the elsewhere, can say the contrary and the benevolent and peasy gorgon, in these peases, are acknowledging, of a world's widening, that we others, refusing  the miserable finding.  

Terragone : The decalagingnesses of the strates would proof that some enigmatcal forces, that were present, have remoulded this disharmiousness. The footspadingnesses of the gorgons can reveal the asperities, and the anfractuosities. At the void fracture, the gorgons, such as the loris, can augurate some ores, all the long of these decicatricial holes, in which they have buried, by their pitiful will of discovering or running away the flying palaces, their habitations. The earthened god, once invoked, will react in order to cauterize these reclosable woundy worlds.

Servigon : The fracturating ones are so some traitors, as they appear. But, the spirit of these gorgons are hard to be readen. Something is afoot, from our residues of hope of penetrating their spirit. The terrassing ones will be ready, at the dawn of the besiegemets the riskiest. The arrivist noble, Aphelion, will come to put diagonally these balcons, within which the inferno creatures are growing. A theory of the pathos, that would know how to explain, by some advertances. They advertize a green sun, shimmering more strongly. A scope of the panorama of the battles, that will wait, upcomingly, the heavens, will be new, and, you will be all the renewing ones. 

Terragone : The xanthism of the harpies, losing the polychromatical feathers, is describing, certaintly, a return to the sources of the hope. A galactical conflagration, between some galaxies of combattants, is obligating us to go inside our organoscopical vessels, or, in rigid vessels. The holonautism awaits us, at the gates of this final. Which gate opens about this finale ?